Hypothèses |
Les indices |
Loquacité |
1. Les sujets "fictionnels" ne parlent pas plus, le taux de non réponse pas significatif 2. Réponses portant sur des éléments non visibles par des éléments observables plus fréquentes chez les sujets "documentaires". Inférences donc qualitativement différentes: imagination pour les fictionnels, sur la base de ce qui est vu pour les documentaires. |
Prudence | 3. Nbre de marques de prudence plus
fréquentes chez les sujets "documentaires" 4. Pas de différence 5. pas de différence |
Contextualisation | 6,7,8. Les "sujets documentaires" répondent le plus souvent par des éléments du contexte présent à des réponses sur le passé. Les "sujets fictionnels" répondent plus volontiers sur le passé et mettent en rapport le passé et le présent. |
Référence à la photographie | 9. Les "sujets documentaires" plis que les "sujets fictionnels" sont conscients du fait que la photo a été prise a un moment donné. |
- Les groupes en général se distinguent non pas entre eux mais par rapport à ce qui leur était demandé (effet de mesure: les indices mesuraient le plus souvent le taux de réponse non appropriées aux questions).
- En général les "sujets documentaires" se distinguent plus souvent que les "sujets fictionnels" qui ont comportement conforme à ce qui est attendu.
- Biais dû à l'effet de documentarité de la photographie qui n'existe pas dans le film (p. 100).
- Chez les "sujets documentaires", conscience du fait photographique et de la relation indicielle.
- Plus grande prudence dans l'attitude et le type d'inférences.
- Les "sujets fictionnels" extrapolent sur demande, sur des traits non observables; confirmation du fait que rien ne les rappellent à leur propre point de vue (référence partiellement déterminée).
- mécanisme d'identification plus profond chez les "sujets fictionnels".
- Pour les "sujets fictionnels", tendance à intégrer la lecture dans une narration.
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| Mis à jour le 02.02.98 | | Daniel Peraya |