Sous ce titre j'appliquerai la grammaire de Thorndyke
(montrée plus haut) et celle de Johnson et Mandler (80) à des textes
politiques.
Le transfert de grammaires qui initalement ont été
concus pour l'utilisation dans des recherches à orientation
psychologique pose bien sûr quelques problèmes.
En effet, on le verra que ces grammaires ne sont de nouveau pas
thématiques, ils sont même plus dénués de sens que celles de
Bremond.
A un niveau plus pratique pour être
utilisables en science politique, ces grammaires doivent couvrir des
types de textes différents.
Finalement, à cause d'une forte intertextualité,
l'apparition empirique de beaux récits et rare en politique.
Je me réfère au fait que souvent un récit politique ne doit pas être
explicite en ce qui concerne certains événéments.
Toutefois comme
je l'ai déjà noté dans l'introduction générale a ce
travail,
mes intérêts ultimes sont multiples.
En consequence je m'y attacherai à discuter les points
le plus intéressants qui peuvent être retenus en science
politique aprés avoir présenté en détail les deux
grammaires.