Notre travail n’est nullement exhaustif puisqu’il nous manque de nombreux éléments tels que : un nombre pertinent de scénario, un public cible adapté, c’est-à-dire possédant les moyens techniques pour réaliser ce projet et enfin un nombre adéquat d’enseignants.
 

                    Sophie et Cécile ont proposé un scénario qui a été présenté à des enseignants genevois et valaisans. Puis, à l’aide d’un questionnaire et du scénario, Defne et Nathalie ont procédé à un échange avec les professionnels. Le recueil de ces données a ensuite été transmis à Sophie et Cécile qui ont procédé à l’analyse et ont dégagé les [contraintes] pratiques susceptibles d’être rencontrées lors de l’application du scénario pédagogique.
 

                    Ces dernières démontrent qu’il serait approprié, pour mener à bien un tel projet, d’offrir une formation adaptée aux enseignants et surtout d’avoir les moyens matériels nécessaire.
 

                    En effet, au fil des recherches, nous avons constaté que les écoles suisses romandes qui répondent à ces exigences correspondent à des établissements privilégiés d’un point de vue financier. Néanmoins, une tendance en faveur d’un minimum d’une connexion par centre scolaire se répand dans le système. D’ici un ou deux ans, la majorité des écoles devrait être connectée. Le rapport des " Ecoles suisses sur Internet " présente la situation actuelle: http://www.educa.ch
 

                    Dans l’évolution du programme scolaire, celui-ci n’a jamais connu de " remodelage " en profondeur, mais essentiellement des introductions de nouvelles connaissances en addition du programme de base. Aujourd’hui avec des propositions d’introduire l’apprentissage des langues en bas âge, et des projets tels que nous vous avons présentés, comment l’enseignant peut-il gérer une telle surcharge dans les programmes scolaires tout en permettant l’épanouissement de l’enfant ?