Feud n'étudia
jamais la magie ni la sorcellerie sérieusement mais il exprima neanmoins
quelques fois son opinion.
Dans La psychopathologie
de la vie quotidienne (1901) il voyait dans la magie la manifestation
d'un mécanisme de projection sur l'extérieur des désirs
refoulés.
Dans Totem et tabou
(1913), tout ça n'est que la preuve d'une névrose obsessionnelle.
Il considéra
toujours les sorcières commes des malades, dont le fonctionnement
psychique était anormal.
En 1897, il confesse
à un ami qu'en explorant l'inconscient d'une patiente commune, il
avait découvert... le sabbat des sorcières!!!
En 1923, il consacre
une étude de cas à un peintre mystique, qui, en 1677, s'était
dit "possédé" après avoir lié un pacte avec
le Diable que ce dernier lui avait arraché à sa bonne foi.
Cet homme avait aussi reçu la visite du Christ et de nombreux saints.
La psychanaliste tenta
de démontrer que le peintre démoniaque avait surtout chercher
un substitut à son propre père, dont la mort l'avait accablé.
Le pacte que cet homme avait signé montre un apect un plus personnel,
tout simplement parce qu'il n'avait pas été torturé
et parlait librement.
et psychologiques |
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