Test de dépendance tabagique de Fagerström

Accro ou pas accro ?

Le degré de dépendance physique à la nicotine est mesuré par le test de Fagerström, dont le score détermine une forte (score supérieur à 5), rnoyenne ou faible dépendance.

Questions

		2	1	0
1	Combien de cigarettes fumez-vous par jour ?	>25	15-25	<15
2	Quel est le taux de nicotine de vos cigarettes ?	>1,5	0.8-1,5 mg	<0,8 mg
3	Avalez-vous la fumée ?	Toujours	Parfois	Jamais
4	Fumez-vous de façon plus rapprochée le matin que l'après-midi ?		Oui	Non
5	A quel moment fumez-vous votre première cigarette ?		Moins de 30 mn après le lever	Plus tard
6	Quelle cigarette trouvez-vous la meilleure ?		La première	Une autre
7	Fumez-vous même si une maladie (grippe, angine) vous oblige à rester au lit ?		Oui	Non
8	Trouvez-vous clifficile de ne pas fumer dans les endroits interdits (cinéma, métro, salle d'attente ?)		Oui	Non
	total des points	Résultat : si vous avez entre 0-4 points : peu de dépendance 5-6 points : dépendance 7-8 points : forte dépendance 9-11 points : très forte dépendance

Ce qu'on gagne lorsqu'on arrête de fumer...

8 heures :	L'oxygénation du sang revient à la normale Les risques d'infarctus du myocarde commencent à diminuer.
24 heures	Le monoxyde de carbone est éliminé du corps Les poumons commencent à éliminer les mucus et les goudrons Le risque d'infections respiratoires, type bronchite et pneumonie, commence à baisser. .
48 heures	La nicotine n'est plus décelable dans le sang.
1 semaine	Les sens du goût et de l'odorat s'améliorent
3-9 mois	La respiration s'arnéliore (moins de toux, davantage de souffle) La fonction pulmonaire est augmentée de 5 à 10 %.
1 an	Le disque de maladies du coeur (infarctus par exemple) est réduit de moitié.
5 ans	Le risque d'attaque cérébrale est réduit de moitié Le risque de cancer de la bouche, de llœsophage et de la vessie sont réduits de moitié.
10 ans	Le risque de cancer du poumon est réduit de moitié. Le risque d'accident vasculaire cérébral rejoint le niveau de risque des nonfumeurs.
15 ans	Le risque de maladies du coeur (infarctus, par exemple) rejoint celui des non-fumeurs. La mortalité (toutes causes confondues) rejoint quasiment celle de personnes qui n'ont jamais fumé.

D'après Science et vie - 1007 - AOÛT 2001

counter

Retour à la page des activités Calvin de F.Lo

Retour à la Home page de F. Lombard