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Travail de maturité : première écriture :
ce travail est inachevé !


Le Stress au collège : Aurore Fehlmann

 

EXPERIENCE :

Quelles situations sont stimulantes ou paralysantes suivant quelques traits de personnalités des personnes soumises à la situations ?

Introduction :

Je cherche à illustrer, dans le collège Calvin, que suivant les facteurs psychologiques expliqués ci-dessus ont un rapport avec la façon dont les élèves perçoivent cette situation, c’est-à-dire s’il se sentent stimulé ou paralysé. S’ils se sentent stimulés, ils vont donc être motivé fournir un travail chez eux, pour ainsi se préparer à une épreuve ou préparer un exposé, une dissertation, un rapport scientifique, … S’ils se sentent paralysé, ils vont être découragés et démotivés pour travailler chez eux et se préparer à un examen, ce qui peut aussi les amener à paniquer et perdre tout leur moyen.

Je pense que …………………(hypothèse de recherche… !)

Matériel et méthodes : (OK)

D’abord, il a fallu créer le questionnaire, j’ai donc sélectionner dans plusieurs livre que j’avais lu sur le sujet des tests sur le type A et B, sur les externalistes et internalistes et sur le besoin d’un niveau de stress pour être efficace. Après avoir lu plusieurs bouquins, je suis tombé sur un livre (Légeron, Le stress au travail, Editions Odile Jacob, 2001) avec les trois questionnaires dont j’avais besoin. Grâce à ces trois tests je ciblais quelques traits de personnalité de l’élève, mais ce n’est pas tout parce qu’il est aussi intéressant de connaître de l’élève son age, sa classe et ses notes pour pouvoir ainsi le classer dans l’école. Après avoir délimité quelques caractéristiques de l’élève à partir des nombreuses questions, il faut poser les questions pertinentes pour trouver les situations dans lesquelles quelques étudiants sont paralysé et paniqué par le stress et dans d’autre où l’étudiant est stimulé ; et c’est là que cela a posé certains problèmes… Pour finir, j’ai surmonté mon obstacle et j’ai questionné les élèves sur des situations diverses en leur demandant s’ils étaient stimulé ou paralysé. J’avais enfin fini mon questionnaire. Ouf !

J’ai photocopié le questionnaire en 200 exemplaires le mercredi 2 avril, mais je ne les ai distribué que le jeudi 3 avril. Pour la distribution, j’ai mis 5 questionnaires dans chaque casier d’élève. Mais, certains camarades me firent remarquer que le questionnaire comportait quelques confusions et erreurs qu’elles soient de compréhension ou de syntaxe, je n’étais donc pas au bout de mes peines ! Alors, certains élèves, me connaissant, ont pu me demander des précisions et ils ont ainsi pu y répondre correctement. Mais pour ceux que je n’ai pas vu ou qui ne me fréquentent , j’espère qu’ils n’ont pas été trop peiné pour y répondre. Donc, je dus améliorer le questionnaire pour les futures copies que je devais faire, en faisant attention aux remarques que j’avais eu toute la matinée. Je refis alors 160 copies du questionnaires améliorés, ces copies fut distribuées dans les casiers d’élèves le vendredi 4 avril, mais cette fois je mis 5 questionnaires par casier principalement dans ceux de troisième année et quatrième parce que c’est là qu’il en manquait le plus ; peut être parce que les troisièmes sont des camarades ou connaissances et que les quatrièmes, ayant déjà dû faire un travail de maturité, savent que cela rend un grand service d’y répondre. Pour recevoir les questionnaires, la direction m’a autorisé d’utiliser un casier que j’ai nommé " retour du questionnaire sur le STRESS " pour la remise des questionnaires, mais certains me l’ont aussi donné de main à main.

Je reçus 25 questionnaires le jeudi 3 avril, 19 le vendredi 4 avril, 20 le lundi 7 avril, 10 le mardi 8 avril, 1 le mercredi 9 avril, 8 le jeudi 10 avril, 9 le vendredi 11 avril, 2 le lundi 14 avril, 2 le mardi 15 avril et 5 le mercredi 16 avril.

 

Une fois les questionnaires répondus et rendus, il faut les analyser. Pour les trois questionnaires trouvés dans les livres, la façon d’analyser les résultats étaient déjà expliqué ; mais pour les autres, c’est plus compliqué.

Chaque réponse aux quatorze items donne une note.

1. Pour les items " directs " (2, 5, 7, 11, 12, 13, 14), la note obtenue est déterminée par la case cochée, selon les indications suivantes :

|_1_|_2_|_3_|_4_|_5_|_6_|_7_|_8_|_9_|_10|_11|_12|_13|_14|_15|_16|_17|_18|_19|_20|_21|_22|_23|_24|

2. Pour les sept items " indirects " (1, 3, 4, 6, 8, 9, 10), la note obtenue est déterminée par la case cochée, selon les indications suivantes :

|_24|_23|_22|_21|_20|_19|_18|_17|_16|_15|_14|_13|_12|_11|_10|_9_|_8_|_7_|_6_|_5_|_4_|_3_|_2_|_1_|

J’ai additionné les quatorze notes.

Le total est ensuite divisé par 14, pour obtenir une note moyenne qui correspond au score du test (compris entre 1 et 24).

Le score est compris entre 20 et 24 :

La personne est un " type A1 ", c’est-à-dire que ses comportements sont presque tous de type A, c’est pour cette raison que je les ai appelé Apure.

Le score est compris entre 15 et 20 :

La personne est un " type A2 ", c’est-à-dire que ses comportements sont majoritairement (mais pas exclusivement) de type A, c’est pour cette raison que je les ai appelé Amodéré.

Le score est compris entre 11 et 15 :

La personne est un " type AB ", c’est-à-dire que ses comportements sont mixtes, à la fois de type A et de type B.

Le score est compris entre 6 et 11 :

La personne est un " type B4 ", c’est-à-dire que ses comportements sont majoritairement (mais pas exclusivement) de type B, c’est pour cette raison que je les ai appelé Bmodéré.

Le score est compris entre 1 et 6 :

La personne est un " type B5 ", c’est-à-dire que ses comportements sont presque tous de type B, c’est pour cette raison que je les ai appelé Bpure.

J’ai fait le total des points ainsi obtenus, c’est-à-dire 3 points pour "tout à fait vrai", 2 points pour "plutôt vrai", 1 point pour "plutôt faux" et aucun point pour "tout à fait faux".

Si le total est inférieur à 6 : la personne fonctionne au mieux de son efficacité avec un niveau plutôt bas de stress. C’est ce que j’ai appelé dans le tableau " Besoin niveau faible de stress ".

Si le total est compris entre 6 et 12 : la personne a besoin d’un certain niveau de stress pour être performant. C’est ce que j’ai appelé dans le tableau " Besoin niveau moyen de stress ".

Si le total est supérieur à 12 : pour être efficace la personne se nourrit du stress, ce qui n’est pas sans risque. C’est ce que j’ai appelé dans le tableau " Besoin niveau élevé de stress ".

Toutes les affirmations impaires correspondent à une attitudes " internalistes " et toutes les affirmations paires correspondent à une attitude " externalistes ".

J’ai compté le nombre d’affirmation d’internaliste et le nombre d’affirmation d’externaliste et la majorité de l’un correspond à la tendance de la personne.

Si la personne a plus d’affirmation d’internaliste que d’externaliste, cela veut dire qu’elle a des attitudes " internalistes " ; c’est-à-dire un sentiment que l’on peut contrôler les événements.

Si la personne a plus d’affirmation d’externaliste que d’internaliste, cela veut dire qu’elle a des attitudes " externalistes " ; c’est-à-dire un sentiment d’impuissance par rapport aux événements.

Un total de réponses impaires (internaliste) plus élevé, et donc un " lien de contrôle " plus interne, est associé à une meilleure maîtrise du stress.

J’ai voulu trier les élèves par leur niveau scolaire en faisant 4 catégories, les très bons élèves, les bons élèves, les élèves moyens et les doubleurs. Voici les critères selon mon idée :

Les très bons élèves ont une moyenne générale au-dessus de 5 et n’ont aucune moyenne en-dessous de 4, c’est-à-dire insuffisante.

Les bons élèves ont une moyenne générale comprise en 4.5 et 5 et n’ont aucune moyenne insuffisante.

Les élèves moyens ont une moyenne générale au dessus de 4 et en-dessous de 4.5 sans branche en dessous de la moyenne ou une moyenne générale comprise entre 4 et 6 avec maximum 3 moyennes insuffisantes dont la somme des écarts à la moyenne est inférieur à 10 dixièmes.

Les doubleurs ont soit une moyenne générale insuffisante, soit plus de 3 moyennes insuffisantes dont la somme des écarts à la moyenne est supérieur à 10 dixièmes. En réalité, c’est selon les critères du collège.

Il y a eu 20 situations de stress, la majorité définit si la personne est stimulé ou paralysé, mais il y a des cas où la personne est aussi stimulé que paralysé, il y a donc eu 3 catégories :

La première représente ceux qui sont paralysés par le stress, ils ont répondu à plus de 12 fois par un P pour paralysé. La deuxième catégories représente ceux qui peuvent être stimulé ou paralysé par le stress, ils ont répondu entre 9 et 11 fois par un S pour stimulé et 9 à 11 fois par un P pour paralysé. Et la troisième catégorie représente ceux qui sont stimulés par le stress, ils ont répondu à plus de 12 fois par S pour stimulé.

 

Voilà l’analyse fini, il n’y a plus qu’à faire des tableaux et des statistiques pour ensuite les analyser.

 

Résultats :

Remarques :

Dans les questionnaires que j’ai reçu, je n’ai trouvé aucune personne de type Apure et de type Bpure, ils étaient tous modérés et de type AB.

 

Paralysé

Paralysé et stimulé

Stimulé

On ne sait pas

Total

 

Total

8

35

56

2

101

%

Type A

-

11

20

 

31

30.7

Type AB

6

20

24

*

51

50.5

Type B

2

4

12

+

19

18.8

Besoin niveau faible de stress

3

6

12

*

22

21.8

Besoin niveau moyen de stress

4

21

36

+

62

61.4

Besoin niveau élevé de stress

1

8

8

 

17

16.8

Internaliste

4

20

43

+

68

67.3

Internaliste et Externaliste

-

3

2

 

5

4.9

Externalise

-

2

-

 

2

2

On ne sait pas

4

10

11

*

26

25.8

1er

4

6

10

 

20

19.8

2ème

-

7

6

+

14

13.8

3ème

2

12

27

 

41

40.6

4ème

2

10

13

*

26

25.8

Doubleurs

2

9

4

 

15

14.7

Elèves moyens

5

15

17

+

38

37.7

Bons élèves

-

4

8

 

12

12

Très bons élèves

-

7

27

*

35

34.6

On ne sait pas

1

-

-

 

1

1

Ce qui est en italique n’est pas pris en compte pour les graphiques !

 

___________________________________________________________________________

___________________________________________________________________________

 

 

 

 

"Dans nos environnements professionnels actuels, il est difficile, voire impossible, d’être un type B5. Les types B4 existent, mais ils sont peu. Il est possible, même quand on travaille avec de nombreux stresseurs, d’être un type AB. Les types A2 se rencontrent fréquemment et fonctionnent à un niveau élevé de stress. Quant aux types A1, ils sont aux niveaux extrêmes et mettent en danger leur santé. Ils sont aussi une source de stress importante pour leur entourage." (Légeron, Le stress au travail, Editions Odile Jacob, 2001)

Analyse des résultats :

Conclusion :

 

 

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