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Rapport par les élèves du camp

Les ours en vacances

Sanary 2003

Avertissement : Par respect pour les personnes citées nous avons utilisé une méthode de censure (*).

Lundi 8 septembre :

On est parti hyper tôt, c'était trop monstrueux. Il était 6 heures du matin (j'étais seul et j'avais besoin de parler à quelqu'un…). Bref, dans le car, on a regardé Patrick et Serge danser la carioca. Plus tard, François nous a fait subir ses tests psychologiques. (proposé en fait ... NRDLR) Aimez-vous le café ? Fa***ce nous a fait découvrir ses lectures culturelles. Après 6 heures de voyage, nous arrivâmes au Centre Azur et nous nous installâmes dans nos tentes respectives après délibérations. Nous découvrîmes avec grande joie que pour bien dormir un professeur partageait chacune des tentes. Plus tard, nous sommes allés nous baigner. L'eau était très froide avec de grandes vagues qui nous ont causées environ la moitié des bleus accumulés au cour du camp. Une fois rentrés, Pa***ne découvrit la pétanque qui deviendra son sport fétiche (ne nous en veut pas Pauline !). Le soir (18h30) le sympathique personnel de cuisine nous servit des lasagnes. Après s'être sustenté la panse, nous jouâmes (cash) au " rouge et noir ". Pour les futures joueurs, Mé***ie est tout le temps noire (ne nous en veut pas Mélanie). Nous nous couchâmes avec le soleil (22h00…). Les lits grinçaient, surtout celui de J**f qui perturba tout le monde pendant toute la nuit.

Mardi 9 septembre :

Trop glauque, 7h00, Jean-Marc fit son entrée dans les tentes en criant : " debout là dedans ". Réveil dans la joie et la bonne humeur…. Petit déjeuner, toujours avec le même personnel, toujours aussi sympathique, et avec le nutella de Vi***nt (merci Vincent qui n'a pas la grosse tête). Ensuite, départ plutôt brusque au Brusc J. Ha ha ha (c'est pas drôle). Long et dur (ayez pas l'esprit tordu) le voyage fut douloureux. 30 minutes plus tard, nous étions sur place et nous pûmes faire connaissances avec la (soi-disant) flore et faune marine. L'eau était froide, et il n'y avait rien. Sauf pour J-M (pour les intimes) et François qui ont réussi à nous trouver 15 spécimens dont un charmant poulpe bien visqueux. Après une première rentrée difficile pour Pa***ne et Ju****te, nous étudiâmes et observâmes les spécimens ramassés (dont Pauline qui était le plus intéressant). 3 heures de dur labeur furent nécessaire à l'élaboration d'une fiche " spécimentale " que vous pouvez observer sur notre site.

Soirée externe dans un ancien fort abandonné depuis des décennies et vide de sens avant notre venue. Le pique-nique étant composé de : salade niçoise en boîte(méga-gerbax), chips, pain, foie de volaille, fromage (le p'tit moulé), biscuits et pruneaux. Souvenir émouvant et éprouvant. Le soleil se couche, les ténèbres se réveillent mais heureusement les chevaliers de la lumière sont là. Malgré leur courage, ils ne résisteront pas aux soeurs Darkina (Ju****te et Mé***ie) envoyé par l'au- delà et qui ont réussi à pervertir J**l et Cé**ic, deux âmes innocentes. Puis nous sommes rentrés et dodo.

Mercredi 10 septembre :

Réveil toujours aussi difficile. Nous sommes retournés au Brusc nager dans un port pour certains. Quand aux autres ils ont du passer par un chemin sinueux, glissant et rocailleux. J-M a trouvé un requin (en plus c'est vrai cf ici). Sur le chemin du retour, le groupe de François a eu droit à une glace avant 30 minutes de vélo (merci François !!!!!). L'après-midi, toujours à bosser comme des ours. Le soir, plongée de nuit. Toujours le même délicieux pique-nique. Mais cette fois, avec une nouvelle sorte de salade encore meilleure. Description de la plongée : froide, longue, hurlante. L'objectif, était de voir du plancton ! Ha les petites lumières phosphorescentes… Stephane s'est dévoué pour faire le phare et accueillir chaleureusement les rescapés. Merci Steph !

Jeudi 11 septembre :

Boum, levé tardif 7h15, car François avait oublié de mettre son réveil. MERCI FRANCOIS. Départ pour Cassis. Sur place, déception, nous n'avons pas pu accéder aux calanques voulues à cause de la mafia locale. Solution de secours très sympathique. Paysages magnifiques et pique-nique pour une fois vraiment délicieux (merci Claudio). Saut périlleux de Ca***le et G**l. Puis découverte forte impressionnante d'un cimetière de bateaux. Après un retour dans le vent, assoiffés et fourbus, pause au port. Le soir (puisque nous avions été sage (surtout Ju****te), nous avons eu droit à un traitement de faveur. Nous pensions obtenir une soirée digne de ce nom. Nous avons, attention attention, reçu la permission de 22h30. Trop bien. Merci les profs ! On l'a passé à jouer au " Loup garou ". Li**el a suspecté Luis d'être loup garou, car il ne tapait plus à l'ordinateur durant la nuit. C'est pas grave Lionel.

Vendredi 12 septembre :

Réveil à la manière ours, en gros 5h00 du mat.. Les bagages devaient être fait la veille, c'est-à-dire, on les a tous faits le matin. Embarquement immédiat, merci François. Et en avant pour une journée forte en émotions. Sur le bateau, petite altercation entre une voyageuse et Ju****te pour cause de nuisance sonore J. Arrivé sur l'île de rêve qu'est Port-Cros, nous sommes enthousiasmés, éberlués, subjugués, submergés par tant de charme et de beauté. Les poissons évoluant dans des eaux limpides et claires (pour une fois chaude) avec en prime, un soleil radieux qui réchauffait les cœurs en peine.
Merci pour cette formidable journée de bonheur. Le soir, dîner dans une pizzeria pour manger des pizzas (pas possible !). Et cette fois, tadam, permission de minuit. En France, tous les petits commerces ferment tôt. Donc, impossibilité, d'acheter à "boire". Heureusement, les marchands de glaces, répondent présent. Excellente soirée passée sur la plage. Il y avait des vagues. Mais même pas nettes, vague J !

Luis nous a retrouvé grâce aux vibrations sismiques de Pa***ne. A minuit, retour au car. Pendant le voyage Ca***le arborait fièrement son cactus déterré. Puis visionnage d'un film pathétique (mais presque). Grâce aux chants mélodieux et féeriques d'Ol***er, personne, ne tombât dans les bras de Morphée.

Merci à :

Surtout à :

Mais aussi à :

Avertissements, conseils et consignes pour les futures Sanariens :

Bien que basée sur une histoire vraie, toute ressemblance avec certaines personnes, lieus ou animaux ne serait que pure coïncidence. Ce document est réservé à l'usage privé ou familial, toute imitation ou reproduction ne serait-ce que partielle est interdite et pourra faire l'objet de poursuites judiciaires.

Vincent Vibert, Noémi Savary, Juliette Roduit.

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