QUELQUES GRANDS PENSEURS  DE L'EDUCATION

TESTEZ VOS CONNAISSANCES ET DECOUVREZ QUI SE CACHE DERRIERE CES CITATIONS !
Les méthodes et les programmes gravitant autour de l’enfant, et non plus l’enfant tournant tant bien que mal autour d’un programme arrêté en dehors de lui, telle est la révolution copernicienne à laquelle la psychologie convie l’éducateur.

L'activité d'un écolier ne devrait jamais être autre chose qu'un moyen employé par lui pour satisfaire à un besoin qu'on aura su créer en lui.

L'école doit être active, c'est-à-dire mobiliser l'activité de l'enfant. Elle doit être un laboratoire plus qu'un auditoire. Dans ce but, elle pourra tirer un utile parti du jeu, qui stimule un maximum l'activité de l'enfant.
Le développement psychique qui débute à la naissance et prend fin à l’âge adulte est comparable à la croissance organique : comme cette dernière, il consiste essentiellement en une marche vers l’équilibre.

Tout ce qu'on apprend à l'enfant, on l'empêche de l'inventer, ou de le découvrir.

 Autrement dit, l’intelligence c’est l’adaptation par excellence, l’équilibre entre une assimilation continue de choses à l’activité propre et l’accommodation de ces schèmes assimilateurs aux objets eux-mêmes.

 Les fonctions essentielles de l’intelligence consistent à comprendre et à inventer, autrement dit à construire des structures en structurant le réel.

 Le garçon promis au vagabondage, futur fripon peut-être, et la fille destinée à une vie misérable, sans espoir de mariage, étaient presque nécessairement perdus pour eux-mêmes et pour la patrie : ce sont eux que je voulais sauver en les éduquant pour qu’ils aient une existence utile et active.

L'éducation familiale comme l'éducation officielle de part le monde et celles de toutes les classes sociales m'apparurent alors comme autant de figures rabougries qui pouvaient trouver et avaient à chercher dans les hautes idées de Rousseau un remède général contre la misère de leur état réel.

L'éducation doit apprendre à se comprendre elle-même.
 
Commencez donc par mieux étudier vos élèves, car très assurément vous ne les connaissez point.

Prenez une route oppposée avec votre élève; qu'il croit toujours être le maître, et que ce soit toujours vous qui le soyez.

Jeune instituteur, je vous prêche un art difficile, c'est de gouverner sans préceptes, et de tout faire ne ne faisant rien.

Epiez longtemps la nature, observez bien votre élève avant de lui dire le premier mot.
Est-ce que notre système d'enseignement est à même de préparer les individus et les groupes à vivre heureux dans un monde caractérisé par un changement constamment accéléré? Ou bien est-ce là une adaptation trop difficile à réaliser pour l'être humain ? Ou bien est-il impossible à l'enseignement d'atteindre un objectif tellement étranger à son passsé ? Je l'ignore.

A mes yeux, l'expérience est l'autorité suprême.

Si nous désirons que les élèves apprennent à devenir des individus libres et responsables, nous devons alors vouloir qu'ils soient confrontés avec la vie, avec des problèmes réels.

 
 
 
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