Consulter Internet

La première page qui apparaît au démarrage de Navigator, le composant de navigation de Communicator, est la page d'accueil courante.

Comment afficher des pages Web

Pour pouvoir afficher les informations que vous souhaitez, vous devrez établir des connexions à ces pages. Des pages créées dans les règles de l'art comportent des connexions intégrées vers d'autres pages, qui sont représentées par des liens sous forme de mots mis en surbrillance, d'images ou de menus. Chaque lien contient des informations sur l'adresse Internet qui sert d'adresse du site Web.

Lorsque vous cliquez sur un lien (mot mis en surbrillance, image ou menu), une autre page d'informations s'affiche sur l'écran. Le réseau de pages peut être entièrement relié, en faisant pointer une page sur une autre.

Comment passer d'une page à l'autre :

  1. Cliquez sur n'importe quel mot mis en surbrillance pour afficher une nouvelle page.
  2. Cliquez sur le bouton Précédent de la barre d'outils (flèche dirigée vers la gauche) ou sélectionnez l'option Précédent du menu Aller.
  3. Répétez l'étape 1 et notez les changements qui affectent la zone d'adresse (qui indique l'adresse de la page sur le réseau), le logo de la société Netscape (qui s'anime lors du transfert de la page), le message de la barre d'état (qui affiche l'adresse du lien ou la progression du transfert) et la barre de progression (qui illustre la progression du transfert).

Comment rechercher des pages et y retourner

Vous pouvez atteindre directement des pages qui vous intéressent en sélectionnant des options de menu.

Comment ouvrir une nouvelle fenêtre de Navigator

Sélectionnez l'option Nouveau du menu Fichier, puis l'option Fenêtre de Navigator.

La nouvelle fenêtre affiche à l'écran une autre copie de votre page d'accueil dans une fenêtre de Navigator indépendante et totalement fonctionnelle.

Comment créer des connexions réseau simultanées

Chaque fois que vous ouvrez une fenêtre de Navigator, vous commencez une nouvelle session interactive sur Internet. Vous pouvez lancer une autre connexion dans une seconde fenêtre de Navigator, même si la précédente connexion n'a pas terminé d'afficher la page.

  1. Cliquez sur n'importe quel lien dans la fenêtre au premier plan.
  2. Cliquez sur n'importe quelle autre fenêtre de Navigator pour la faire passer au premier plan.
  3. Cliquez sur n'importe quel lien dans la seconde fenêtre pour établir une deuxième connexion.

Comment afficher des informations dans un cadre de Navigator

Communicator peut afficher des pages à l'intérieur d'une page (à l'instar de certains postes de télévision capables d'afficher un écran dans l'écran) à l'aide de cadres. Ceux-ci divisent la page en plusieurs zones rectangulaires, chacune de ces zones étant capable d'afficher une page.

  1. Cliquez sur un lien dans une page qui contient des cadres. La présence de cadres et leur emplacement dans une page sont déterminés par l'auteur de la page.
  2. Vérifiez que le lien sur lequel vous avez cliqué modifie un ou plusieurs cadres de la page ou bien provoque l'affichage d'une page totalement nouvelle.
  3. Faites glisser le bord d'un cadre pour le redimensionner au sein de la page. Cela vous permet de contrôler la disposition des informations présentées.

À propos d'Internet

Internet rassemble une quantité d'informations qui sont stockées sur des ordinateurs répartis dans le monde entier. La plupart de ces informations sont organisées sur des pages électroniques. Vous pouvez afficher une page sur l'écran de votre ordinateur, en découvrir le contenu, puis consulter de nouvelles pages.

Le World Wide Web (ou plus simplement le Web) constitue une des facettes d'Internet. Il est composé d'ordinateurs clients et serveurs qui gèrent des pages multimédias. Un logiciel tel que Netscape Communicator permet aux ordinateurs clients d'afficher ces pages et aux serveurs de les tenir en état de façon à ce que les clients puissent les consulter.

En outre, Communicator met à votre disposition des pages d'Internet avec élégance et efficacité. Il vous permet de profiter des informations contenues dans ces pages, sans toutefois être submergé par la complexité des réseaux distribués.


Utiliser la palette d'accueil

La palette d'accueil vous permet d'ouvrir facilement les fenêtres qui correspondent à chacun des principaux composants de Communicator.

Comment afficher la palette d'accueil

Elle peut être affichée de deux manières différentes:

Comment passer de la palette flottante à la palette fixe

Cliquez dans le bouton de fermeture de la palette flottante.

Comment passer de la palette fixe à la palette flottante

Faites glisser les lignes de la partie la plus à gauche de la palette fixe vers un emplacement sur l'écran.

Comment ouvrir des fenêtres à partir de la palette d'accueil

Cliquez sur une des quatre icônes de la palette d'accueil. Les quatre commandes de la palette d'accueil sont les suivantes :

Vous pouvez également exécuter ces commandes à partir du menu Communicator.

Voir aussi
Afficher les fenêtres de Communicator

Deux sortes d'outils de recherche

Le logiciel Navigator met à votre disposition deux types d'outils de recherche de l'information : les outils qui recherchent sur Internet et ceux qui recherchent sur les pages.

Comment rechercher des informations sur le réseau Internet

  1. Cliquez sur le bouton Rechercher de la barre d'outils. Une page fournissant un accès aux moteurs de recherche sur Internet et à d'autres services de recherche s'affiche.
  2. Suivez les instructions du site du moteur de recherche. En général, vous devez taper le texte recherché, cliquer sur un bouton, puis attendre que l'outil trouve les occurrences du texte dans une base de données de pages Web.
  3. Examinez les résultats de la recherche. Ils sont en général présentés sous forme d'une liste de liens à des pages qui contiennent le texte demandé.
  4. Pour une exploration approfondie d'Internet, cliquez sur le bouton Guide de la barre d'outils qui fait apparaître un menu déroulant contenant les annuaires d'Internet. Ces annuaires peuvent vous conduire à différents sites et services d'Internet.

Comment trouver des informations sur la page courante

  1. Sélectionnez l'option Rechercher sur la page du menu Edition.
  2. Dans la boîte de dialogue qui s'affiche, tapez le texte recherché, puis cliquez sur le bouton Suivant. Le texte trouvé est mis en évidence et si nécessaire, la page défile jusqu'à l'emplacement du texte.
  3. Cliquez sur l'option Poursuivre la recherche du menu Edition pour rechercher d'autres occurrences du même texte.

Ces mêmes commandes sont disponibles dans le menu Edition de la fenêtre Signets et de la fenêtre des messages ; elles s'intitulent respectivement Rechercher dans les signets et Rechercher dans le message.

Pour en savoir plus sur Netscape et ses produits

  1. Cliquez sur le logo de la société Netscape dans le coin supérieur droit de la fenêtre pour afficher la page d'accueil de Netscape.
  2. Cliquez sur les liens de cette page d'accueil pour afficher les informations contenues dans des pages de la société. Vous trouverez des liens sur les communiqués de presse concernant la société, la boutique Netscape, le service clientèle, l'assistance technique et des informations récentes sur les logiciels Netscape.


Utiliser un URL

Comment identifier l'adresse des pages

Pour comprendre comment chaque page est gardée séparément dans cet univers électronique, il est indispensable de reconnaître son URL (Uniform Resource Locator, localisateur de ressources uniforme). Chaque page possède un URL unique.

Non seulement chaque page possède un URL unique, mais également chaque image et chaque cadre de la page. Vous pouvez accéder à une page, une image ou à un cadre donné en indiquant son URL.

Un URL est constitué de coordonnées textuelles qui permettent d'identifier et de localiser un élément sur un réseau d'ordinateurs. En bref, il fournit des informations sur l'adresse d'un élément donné et est affiché par Navigator dans la zone d'adresse. La plupart du temps, il n'est pas nécessaire de connaître l'URL d'une page car les informations concernant l'adresse sont incluses dans le lien mis en surbrillance ; Navigator connaît déjà l'URL lorsque vous cliquez sur du texte mis en surbrillance, sur un bouton de la barre d'outils ou lorsque vous sélectionnez une option de menu. Cependant, ce lien peut être manquant et vous ne disposez que du texte de l'URL (fourni par un ami ou trouvé dans un journal).

Comment entrer un URL

Lorsque l'URL a été entré, Navigator peut afficher la page donnée comme si vous aviez cliqué sur un lien.

Voici quelques exemples d'URL :

http://home.netscape.com/index.html
ftp://ftp.netscape.com/pub/
news:news.announce.newusers

Comment interpréter l'intitulé de la zone d'adresse

Comment entrer des URL partiels

Si vous omettez certaines parties de l'URL dans la zone d'adresse, Navigator complète automatiquement le texte que vous avez tapé. Les parties ci-dessous peuvent être omises :

Sous Windows, Navigator essaie de compléter automatiquement l'URL que vous commencez à entrer dans la zone d'adresse. Au fur et à mesure que vous entrez l'adresse, Navigator recherche les URL précédemment consultés qui correspondent aux lettres que vous avez tapées et s'il trouve une correspondance, remplit le reste de l'adresse. S'il trouve plusieurs correspondances, vous pouvez cliquer sur la flèche pointant vers le bas pour entrer la correspondance suivante.

Il est également possible sous Windows d'afficher un menu déroulant à droite de la zone d'adresse. Celui-ci peut contenir les quatorze derniers URL que vous avez entrés dans la zone d'adresse et consulter les pages correspondantes. Si vous choisissez un URL à partir de ce menu déroulant, la page qui lui est associée apparaîtra à nouveau sur votre écran. Ces URL sont conservés dans le menu déroulant pour chacune de vos sessions de Navigator.

Comment identifier les composants d'un URL

Communicator utilise le texte d'un URL pour localiser une information particulière, telle qu'une page, parmi tous les ordinateurs connectés à Internet. La syntaxe de l'URL est constituée de différents segments qui spécifient le protocole, le serveur et le chemin d'accès à l'information recherchée.

Vous remarquerez que dans l'exemple d'URL http://home.netscape.com/index.html, le protocole est suivi du signe deux-points (http:), le serveur est précédé de deux barres obliques (//home.netscape.com) tandis que chaque segment du chemin d'accès (un seul dans cet exemple-ci) n'est précédé que d'une seule barre oblique (/index.html).

Certains chemins d'accès utilisent des caractères spéciaux. Si vous tapez un URL dans la zone d'adresse, vous devrez entrer les caractères qui correspondent exactement à l'URL. Certains chemins d'accès contiennent par exemple le caractère tilde (~) qui désigne un répertoire d'accueil particulier sur un serveur.

À propos des étiquettes HTML

Les créateurs de pages Web utilisent un langage appelé HTML (HyperText Markup Language). Composer, le logiciel d'édition de Communicator, génère automatiquement de l'HTML.

Ce langage utilise de courtes étiquettes (du texte source entre crochets) pour définir les liens et les éléments graphiques associés à une page. Lorsque vous transmettez une page, Communicator interprète les étiquettes HTML et les présente sous forme de liens et autres éléments graphiques.

Les étiquettes contiennent souvent un URL. Lorsque vous cliquez sur ce type d'étiquette, Navigator reçoit l'instruction d'afficher les informations relatives à la page située sur un serveur, quel que soit l'emplacement géographique de ce dernier. La partie URL d'une étiquette HTML est cachée dans le texte source de la page ; seul le lien mis en surbrillance apparaît dans la fenêtre d'affichage.


Consulter une page

Comment afficher une page en utilisant la commande Consulter une page

  1. Sélectionnez l'option Consulter une page du menu Fichier.
  2. Dans la boîte de dialogue qui apparaît, tapez un URL (ou sélectionnez un fichier en utilisant le bouton Choisir un fichier) pour afficher une page dans la zone d'affichage.
  3. Sélectionnez un bouton circulaire pour indiquer si vous souhaitez ouvrir la page dans une fenêtre de Navigator ou dans une fenêtre de Composer.
  4. Après avoir spécifié l'adresse de la page, cliquez sur le bouton Ouvrir pour afficher la page.

Utiliser des liens à des pages

Un lien permet de relier des pages entre elles. Vous reconnaîtrez un lien dans la fenêtre d'affichage de la page au fait qu'il est constitué d'un ou de plusieurs mots mis en évidence (en couleur, souligné ou les deux) ou d'images et d'icônes dont les bordure sont en couleur. Un lien dans une page contenant des cadres permet d'afficher une ou plusieurs nouvelles pages dans les cadres ou une page totalement nouvelle qui remplacera tous les cadres.

Comment utiliser un lien

  1. Placez le curseur de la souris sur un lien. L'URL du lien apparaît alors dans la zone d'état dans la partie inférieure gauche de la fenêtre.
  2. Cliquez une fois sur le texte, l'image ou l'icône mis en évidence. Le contenu de la page est alors transféré à partir du serveur sur votre ordinateur.
  3. Dès que vous cliquez sur un lien, le logo de la société Netscape s'anime, indiquant que le transfert de la page sur votre ordinateur est en cours.
  4. Examinez la zone d'état et la barre de progression situées dans le bas de la fenêtre pour vous savoir comment se déroule le transfert.

Comment identifier les liens consultés et non consultés

Vous pouvez modifier les attributs de couleur des liens consultés et non consultés. Pour cela, sélectionnez l'option Préférences, puis l'onglet Couleurs du menu Edition. Si votre ordinateur est équipé d'un moniteur noir et blanc, vous ne pourrez pas distinguer les deux types de liens et ils apparaîtront tous soulignés.

Comment interrompre le transfert d'une page

Vous pouvez effectuer cette opération chaque fois que le transfert vous semble prendre trop de temps. Cela peut être le cas lorsque le contenu d'une page est trop important ou lorsque le serveur est lent. Il arrive parfois que la page spécifiée par un lien n'est simplement pas disponible. Vous devriez alors recevoir un message indiquant que la connexion n'a pas été possible ou que la page n'a pas été trouvée.

Liens qui renvoient à l'intérieur même de la page

Vous pouvez afficher une page en entier ou, si elle est particulièrement longue, en partie seulement. (Des barres de défilement vous permettent de visualiser le reste.) La plupart du temps, la partie que vous apercevez correspond au début de la page, mais il se peut qu'un lien renvoie au milieu ou à la fin de celle-ci. Un lien peut pointer sur une nouvelle page ou sur une autre partie de la même page (le défilement est alors effectué automatiquement). Par exemple, le début d'une page peut contenir une table des matières dont les entrées pointent sur les titres des chapitres correspondants plus avant dans le document.

Liens « Mailto » et adresses Internet

Alors qu'un URL identifie l'adresse d'une page d'un serveur sur le réseau, une adresse Internet représente l'emplacement de la boîte aux lettres d'un utilisateur. Une adresse Internet telle que unnom@unserveur.com est composée des éléments suivants :

Alors qu'un URL identifie l'adresse d'une page d'un serveur sur le réseau, une adresse Internet représente l'emplacement de la boîte aux lettres d'un utilisateur. Une adresse Internet telle que unnom@unserveur.com est composée des éléments suivants :

Les adresses sont entrées en minuscules et sans espace. L'intitulé de l'adresse comporte au moins une chaîne et en général, un suffixe à trois lettres, précédé d'un point. Il peut être composé de plusieurs sous-parties qui permettent d'identifier le serveur (un nom d'hôte avec ou sans sous-domaines), chacune séparée par un point. Par exemple, l'adresse nom@serveura.serveurb utilise un sous-domaine.

Le suffixe à trois lettres de l'intitulé de l'adresse permet d'identifier le type d'organisme qui abrite le serveur. (Certaines adresses comportent un suffixe à deux lettres qui indique un emplacement géographique.) Ci-dessous figurent les suffixes et affiliations aux organismes les plus courants :

À l'extérieur des États-Unis, les réseaux nationaux sont souvent référencés par des domaines à deux lettres. Voici quelques exemples :


Utiliser des liens de barre d'outils ou d'options de menu

Bien que les liens soient accessibles à partir de la fenêtre d'affichage, ils peuvent également être activés à l'aide des boutons de la barre d'outils et des options de menu de Communicator. Tous les liens accessibles par les boutons de la barre d'outils ainsi que de nombreux autres liens sont disponibles à partir des options de menu.

Comment afficher la page d'accueil

Cliquez sur le bouton Accueil. L'URL de votre page d'accueil est défini dans vos préférences.

Comment afficher des pages précédemment consultées

Comment afficher les pages que vous avez présélectionnées sous forme de signets

Comment afficher des liens à Internet et aux pages d'informations de Communicator

Comment afficher des liens de menus déroulants

Les menus déroulants vous proposent des fonctions utilitaires et des raccourcis pour certains liens. Lorsque le pointeur de la souris est placé sur différents éléments d'une page et que vous maintenez le bouton enfoncé, les options du menu déroulant vous permettent de consulter des pages, d'afficher des images spécifiques, d'enregistrer des fichiers sur votre disque, de copier des adresses dans le Presse-papiers et d'effectuer d'autres opérations en fonction de l'endroit où pointe le curseur.

Voir aussi
Consulter à nouveau une page en utilisant les signets
Utiliser les raccourcis des menus déroulants

Afficher la fenêtre de Navigator

Cette section décrit ce qui apparaît dans la fenêtre principale de Navigator. La plupart des outils de navigation et des champs de texte sont visibles, bien que certaines options du menu Affichage vous permettent de masquer des fonctions afin d'augmenter la surface d'affichage de la page.


Aperçu des affichages de la page

La fenêtre d'affichage contient la page courante affichée à l'aide du dernier lien activé. Des barres de défilement horizontale et verticale sont parfois présentes si la page est plus grande que la zone d'écran.

Comment copier du texte dans la zone d'affichage

Comment sélectionner et redimensionner des cadres

La fenêtre d'affichage de certaines pages est divisée en cadres rectangulaires, contenant chacun leur propre page.

Cliquer sur un lien à l'intérieur d'un cadre peut affecter la page contenue dans ce cadre, les pages des autres cadres ou la page maîtresse. En général, la barre d'outils et les options de menu affectent la page maîtresse, tandis que les commandes de navigation affectent chacun des cadres : en effet, vous pouvez cliquer sur le bouton Précédent pour passer au cadre précédent ou sur le bouton Suivant pour aller au cadre suivant.

Pages avec cadres

Le créateur d'une page a conçu le contenu que vous voyez. Celui-ci se présente parfois comme une seule unité, qui occupe toute la fenêtre d'affichage. Il peut également être présenté dans de multiples cadres qui, ensemble, forment une mosaïque de pages individuelles remplissant la fenêtre d'affichage. Les cadres et les actions des liens sur ces cadres sont créés par les créateurs des pages à l'aide du langage HTML.

Chaque cadre peut contenir des barres de défilement qui vous permettent d'afficher davantage d'informations. Communicator vous permet de modifier les dimensions de n'importe quel cadre. Il suffit pour cela de placer le pointeur de la souris au niveau des bordures séparant les cadres (le curseur change alors de forme), puis de faire glisser le cadre jusqu'à ce qu'il atteigne les dimensions souhaitées.

En résumé, le cadre d'une page est l'équivalent d'une petite page dans une grande page en mosaïque. Chaque cadre possède les caractéristiques d'une page. Ensemble, les cadres forment une page maîtresse (également appelée jeu de cadres). Par exemple, si vous cliquez sur un lien situé dans un cadre, vous pouvez afficher de nouvelles informations dans le même cadre ou dans un cadre différent. Ainsi, un lien peut afficher une page maîtresse totalement nouvelle qui remplace tous les cadres.

Comment définir l'arrière-plan d'une page

Vous pouvez définir l'arrière-plan d'une page en utilisant les couleurs blanc, gris ou une couleur personnalisée de votre choix. Vous pouvez également décider si l'arrière-plan que vous avez choisi doit toujours être utilisé ou si celui transmis avec la page doit remplacer votre sélection.

  1. Sélectionnez l'option Préférences du menu Edition.
  2. Cliquez sur la catégorie Couleurs.
  3. Cliquez sur la boîte de couleurs Arrière-plan pour sélectionner la couleur de l'arrière-plan. Le blanc est la couleur par défaut.
  4. Sélectionnez l'option Utiliser les couleurs de la fenêtre (le bouton Utiliser les couleurs par défaut sous Mac OS et Unix) pour restaurer les couleurs par défaut du texte et de l'arrière-plan.
  5. Sélectionnez l'option Toujours utiliser mes couleurs, non celles du document pour que les couleurs que vous avez définies soient utilisées à la place de celles définies par une page. Par défaut, cette case n'est pas cochée pour que l'arrière-plan et les couleurs choisis par le créateur de la page soient affichés.

Comment signaler un message d'erreur

Les messages d'erreur proviennent souvent du serveur hébergeant la page à afficher. Dès qu'un problème survient, Communicator tente de l'analyser et de vous informer afin que vous puissiez le résoudre ou l'éviter.

  1. Notez la formulation exacte du message d'erreur.
  2. Sélectionnez l'option Informations sur le produit et support du menu Aide (?).
  3. Recherchez le formulaire de commentaires et envoyez un message.

Les messages d'erreur les plus fréquents apparaissent lorsque vous tentez de consulter une page qui n'est pas disponible. Le plus souvent, cela est dû au fait que le serveur qui héberge la page est temporairement hors service ou surchargé par d'autres connexions pour pouvoir répondre à votre demande. Il arrive parfois que la page ne soit plus disponible à l'URL spécifié.

Pages automatiques

La mise à jour de certaines pages et de certains cadres peut se faire automatiquement grâce à la technologie « server-push » et « client-pull ». Cette technologie permet aux pages d'avoir de multiples interactions avec les serveurs. Vous pouvez mettre fin à ces actions automatiques en allant à une autre page ou simplement en quittant la page.


Afficher des images

Comment désactiver le chargement automatique des images

  1. Sélectionnez l'option Préférences du menu Edition.
  2. Sélectionnez la catégorie Avancées.
  3. Désélectionnez l'option Charger les images automatiquement. Lorsque cette option n'est pas sélectionnée, les images des pages sont remplacées par de petites icônes.

Ces petites icônes de remplacement sont parfois accompagnées d'un texte de substitution qui n'apparaît que si l'image n'est pas chargée. Sur certaines plates-formes, le texte de substitution apparaît temporairement dans un cadre rectangulaire en attendant que l'image soit chargée. Vous pouvez décider d'afficher plus tard les images qui ne sont pas chargées.

Comment charger manuellement toutes les image représentées par des icônes

La désactivation de l'option Charger les images automatiquement présente l'avantage d'afficher les pages plus rapidement. En contrepartie, vous ne pouvez pas visualiser les images tant que vous n'avez pas indiqué que vous souhaitez les charger.

L'option Charger les images automatiquement affecte les liens résultants, mais pas le contenu actuel de la page. Toutefois, si vous sélectionnez l'option Recharger du menu Affichage ou si vous cliquez sur le bouton Recharger de la barre d'outils, l'option Charger les images automatiquement s'appliquera à la page rechargée.

Comment afficher une image externe dans une fenêtre

  1. Cliquez sur le texte mis en surbrillance, une icône représentant une image ou une image insérée dans du texte pour afficher une image externe dans une fenêtre séparée. Communicator ou un utilitaire ouvre le fichier d'image et affiche celle-ci dans une fenêtre séparée.
  2. Pour continuer à utiliser Communicator, cliquez à nouveau sur la fenêtre de Communicator.

Les pages qui contiennent des images de grande taille ou détaillées ont souvent des images « sur le vif » (ou images instantanées) insérées dans des pages qui servent de liens aux images externes. Ces « instantanés » fournissent une représentation approximative de l'image réelle ; ils sont cependant beaucoup plus petits et peuvent être affichés plus rapidement que cette dernière. Pour obtenir l'image complète, il suffit de cliquer une fois sur l'instantané.

Performances des images

L'idéal serait que les pages présentent des images (ou d'autres effets multimédias) aussi facilement et efficacement que du texte. Toutefois, les images, les sons et les films sont plus volumineux et leur transfert d'un ordinateur distant (serveur) à votre ordinateur peut prendre beaucoup plus de temps. La durée du transfert d'une page qui contient des images dépend de plusieurs facteurs, notamment de la vitesse du modem ou de la liaison directe à un serveur distant. Pour compenser la lenteur éventuelle des transferts d'images, Communicator dispose de fonctions qui vous permettent d'agir sur la gestion des images.

Images internes

Communicator charge automatiquement les images dans les pages. Si le créateur de la page a inséré des images dans le texte, celles-ci seront affichées en même temps que la page.

À l'instar du texte mis en surbrillance, une image insérée dans du texte peut pointer sur une autre page, un autre endroit dans la même page ou n'importe quel type de fichier externe, comme une image externe. Comme pour tous les liens, le fait de placer le pointeur de la souris sur un lien fait apparaître l'URL du lien concerné dans la zone de message d'état.

Images externes

Les images externes (à la différence des images incorporées dans du texte) sont affichées dans leur propre fenêtre. Pour afficher une image externe, il vous suffit de cliquer sur le lien qui lui est associé. Communicator peut afficher des images externes stockées dans des fichiers aux formats GIF (Graphics Interchange Format), JPEG (Joint Photographic Experts Group) et XBM (X Bit Map). D'autres formats de fichiers nécessitent un utilitaire approprié sur votre disque dur (et indiqué dans la catégorie Applications).

Les liens à des images externes fonctionnent de la même manière qu'un lien à une page. Un fichier d'image externe possède un URL unique, comme une page ordinaire. Les images externes ne sont pas entièrement chargées de façon automatique, même si l'option Charger les images automatiquement de la catégorie Avancées est sélectionnée.


Sélectionner une page d'accueil

Vous pouvez spécifier votre propre page d'accueil (la première page affichée à l'écran par Navigator chaque fois que vous ouvrez une nouvelle fenêtre) en spécifiant son URL dans la catégorie Navigator des préférences. est programmé pour afficher par défaut la page d'accueil comportant l'URL suivant : http://www.fr.netscape.com/fr/index.html. (Si vous oubliez le nom de fichier index.html, le fichier sera tout de même chargé par défaut.)

Comment modifier votre page d'accueil

Vous pouvez modifier votre page d'accueil (ou revenir au paramètre par défaut) à l'aide de la catégorie Navigator.

  1. Pour cela, sélectionnez l'option Préférences du menu Edition.
  2. Sélectionnez la catégorie Navigator.
  3. Cliquez sur le bouton circulaire Page d'accueil.
  4. Dans la zone Adresse, tapez l'URL de la page d'accueil à afficher. Une autre solution consiste à sélectionner le bouton circulaire Page vierge si vous souhaitez afficher une page blanche.

Chaque fois que vous demandez à Navigator d'ouvrir une nouvelle fenêtre, la page d'accueil choisie est affichée à l'écran. L'URL peut désigner une page qui se trouve sur un ordinateur distant ou sur votre disque dur.

Comment trouver l'URL d'une page sur votre disque dur

Sélectionnez l'option Consulter une page du menu Fichier. Sélectionnez ensuite la page (fichier) sur votre disque dur. (Par exemple, vous pouvez choisir votre fichier de signets.) Une fois le fichier ouvert, l'URL de la page s'affiche dans la zone d'adresse. Vous pouvez sélectionner et copier l'URL, puis le coller dans la zone Adresse de la page d'accueil dans la catégorie Navigator des préférences.

Au départ, aucune page ne sera probablement stockée sur votre disque dur. Par la suite, vous souhaiterez sûrement accéder rapidement et sans problème à certaines pages (par exemple, une page qui contient des liens importants ou une page personnalisée).


À propos des modules externes, du langage Dynamic HTML, de JavaScript et de Java

Les modules externes, le langage Dynamic HTML, JavaScript et Java sont des technologies de pointe utilisées par des développeurs de logiciels et des créateurs de pages Web pour améliorer la diffusion de l'information sur Internet. Du point de vue de l'utilisateur, ces technologies sont transparentes et intégrées au système de serveurs Internet, d'applications et de pages. Ces technologies existent pour vous faciliter la tâche.

Vous pouvez souhaiter ajouter de nouvelles fonctionnalités qui ne sont pas encore intégrées à l'environnement de Communicator. Dans ce cas, vous pouvez ajouter des modules externes (logiciels proposés par différents fabriquants) au dossier des modules externes de Communicator pour accroître ses capacités.

Certains modules externes particulièrement appréciés sont automatiquement installés avec Communicator ; d'autres sont disponibles sur le site Internet de leur fabriquant. Pour déterminer quels sont les modules externes installés, sélectionnez l'option A propos des modules externes du menu Aide (?). Vous y trouverez également des liens et des informations sur de nombreux modules externes.

Les technologies Dynamic HTML, JavaScript et Java permettent aux créateurs de pages Web de doter leurs pages de fonctions dynamiques intégrées de manière transparente au fonctionnement du logiciel Communicator. Dynamic HTML et JavaScript permettent à une page de répondre à des commandes, comme cliquer sur un bouton ou soumettre un formulaire, plus rapidement et efficacement que si les commandes étaient lancées à distance aux serveurs. Les pages Internet qui proposent des applets Java rendent possibles l'animation, l'interactivité et d'autres actions plus sophistiquées que celles réalisables avec le langage HTML.

Le langage Dynamic HTML regroupe un ensemble de technologies qui augmentent la richesse, la rapidité et l'interactivité des pages fournies à l'utilisateur. Grâce à ces technologies, les créateurs de pages Web peuvent contrôler de manière plus précise les styles, les positions et les actions des objets HTML composant la page.

JavaScript fonctionne en grande partie comme une extension du langage normalisé HTML d'Internet. Il s'agit d'un langage de programmation autonome, facile à apprendre et intégré dans Communicator.

Java est un langage de programmation complet dont les programmes (appelés applets) peuvent voyager sur Internet. Alors que les modules externes sont conçus « sur mesure » pour un système informatique donné, les programmes Java fonctionnent à travers le réseau, indépendamment de la plate-forme. Aucune installation n'est requise pour les applets Java car les fonctions de Java sont intégrées dans Communicator.

Les développeurs de logiciels peuvent en apprendre davantage sur les modules externes, le langage Dynamic HTML, JavaScript et Java en se reportant aux pages Web de Communicator et aux nombreux ouvrages disponibles en librairie. Chaque technologie offre des fonctions de connectivité de sorte que les modules externes, le langage Dynamic HTML, les programmes JavaScript et les applets Java peuvent communiquer et interagir les uns avec les autres.

Les utilisateurs ne doivent pas oublier que l'utilisation de technologies de pointe comporte des risques pour la sécurité du système. C'est pourquoi il vous est conseillé de ne télécharger des modules externes qu'à partir de sites dans lesquels vous avez confiance. Vous pouvez en outre désactiver ces technologies de langage dans la catégorie des préférences Avancées.


Afficher les barres d'outils

(Sous Mac OS, le menu Signets n'est accessible que dans la barre des menus ; son accès par la barre d'outils personnelle n'est pas implémenté.)

Les barres d'outils de navigation et d'adresse, ainsi que la barre d'outils personnelle simplifient l'accès aux informations sur les liens, les commandes et les adresses de page. Les barres d'outils sont affichées en haut de chaque fenêtre de Navigator, juste au-dessous de la barre de menus. Vous pouvez repositionner les barres d'outils ou les masquer de manière à agrandir la surface d'écran disponible pour l'affichage de la page.

Comment ordonner les barres d'outils

Faites glisser une barre d'outils et déposez-la à un autre emplacement de barre d'outils. Les autres barres d'outils se repositionneront d'elles-mêmes.

Comment masquer et afficher les barres d'outils et les onglets de barre d'outils

Vous pouvez masquer une barre d'outils de façon à ce que l'onglet demeure visible ou masquer complètement la barre d'outils et son onglet.

Vous pouvez masquer complètement les barres d'outils ou les onglets de barres d'outils à l'aide des options de la barre de menus principale. Si vous avez utilisé une option de menu pour masquer une barre d'outils ou un onglet, vous devez également sélectionner une option de menu pour les afficher à nouveau. L'option de menu devient Afficher ou Masquer selon que la barre d'outils ou l'onglet sont actuellement masqués ou visibles.


Utiliser la barre d'outils de navigation

Comment utiliser les boutons de la barre d'outils pour naviguer et contrôler une page

Cliquez sur l'un des boutons suivants, qui fournissent un accès rapide aux fonctions couramment utilisées :


Utiliser la barre d'outils d'adresse

(Sous Mac OS, le menu Signets n'est accessible que dans la barre de menus.)

Comment utiliser le menu déroulant Signets

Cliquez sur l'icône Signets (également appelée icône QuickFile de signet) à droite de l'étiquette Signets.

Cela permet d'afficher un menu déroulant contenant vos liens de signets ainsi que des options de menu pour ajouter et modifier des signets. Sélectionnez un signet dans le menu déroulant pour afficher la page représentée par le signet.

Comment utiliser la zone d'adresse afin de spécifier l'URL d'une page

  1. Cliquez dans la zone d'adresse.
  2. Tapez l'URL de la page voulue.
  3. Appuyez sur la touche Entrée (ou Retour).

Vous pouvez également sélectionner l'option Consulter une page du menu Fichier pour taper ou choisir un URL, puis ouvrir la page dans la fenêtre de Navigator ou dans celle de Composer.

Sous Windows, Navigator essaie de compléter automatiquement l'URL que vous commencez à entrer dans la zone d'adresse. Au fur et à mesure que vous tapez, Navigator vérifie les URL précédemment consultés qui correspondent aux lettres que vous avez tapées et, s'il trouve une correspondance, complète le reste de l'adresse. S'il trouve plusieurs correspondances, vous pouvez utiliser la flèche vers le bas pour valider la correspondance de votre choix.

Comment ouvrir des URL précédemment entrés et consultés

(Sous Windows uniquement)

Sélectionnez une option du menu déroulant de la zone d'adresse. Pour afficher ce menu déroulant, cliquez sur la flèche du menu déroulant située à droite de la zone d'adresse.

Comment créer et classer un signet à l'aide de l'icône représentant la page

Commencez par faire glisser l'icône représentant la page (située à gauche de la zone d'adresse) sur le menu déroulant Signets pour afficher le menu, puis faites glisser l'icône et déposez-la sur l'emplacement de l'option de menu voulu. Cela permet de créer un signet pour la page affichée et de le classer dans la fenêtre Signets. Si vous déposer simplement l'icône sur celle du menu déroulant, le signet est placé au bas de la fenêtre Signets. Vous pouvez également faire glisser directement l'icône représentant la page dans une fenêtre Signets ouverte.

Comment créer un bouton de barre d'outils à l'aide de l'icône représentant de la page

Faites glisser l'icône représentant la page (située à gauche de la zone d'adresse) sur la barre d'outils personnelle, puis déposez-la à l'emplacement voulu. Cela permet de créer un bouton de barre d'outils pour la page affichée.

Comment créer un raccourci Internet à l'aide de l'icône représentant la page

Faites glisser l'icône représentant la page (située à gauche de la zone d'adresse) et déposez-la sur le bureau. Cela permet de créer un raccourci Internet pour la page affichée.

Comment consulter la page affichée dans une autre fenêtre de Navigator

Faites glisser l'icône représentant la page (située à gauche de la zone d'adresse) et déposez-la dans une autre fenêtre de Navigator. Cela permet d'afficher la page courante dans une autre fenêtre. Pour ouvrir plusieurs fenêtres de Navigator, sélectionnez l'option Nouveau du menu en cascade Fichier, puis l'option Fenêtre de Navigator.


Utiliser la barre d'outils personnelle

(Sous Mac OS, la barre d'outils personnelle n'est pas implémentée.)

La barre d'outils personnelle vous permet de créer des boutons qui constituent des liens à vos sites Web, forums, dossiers de courrier et entrées de carnet d'adresses préférés. Vous pouvez ajouter ou supprimer des boutons et les ordonner. Vous pouvez faire glisser des icônes et les déposer dans la barre d'outils pour créer rapidement des boutons.

Vous pouvez utiliser la fenêtre Signets pour contrôler entièrement la barre d'outils. Les éléments ajoutés à la barre d'outils personnelle sont stockés sous forme de signets dans un dossier spécial que vous pouvez désigner dans la fenêtre Signets.

Pour définir un dossier de signets comme dossier de la barre d'outils personnelle, sélectionnez l'option Ajouter dans le dossier de barre d'outils personnelle du menu Affichage dans la fenêtre Signets. Une autre solution consiste à créer un nouveau dossier nommé « Dossier de barre d'outils personnelle » qui sera automatiquement utilisé comme dossier de barre d'outils lorsqu'aucun autre dossier n'est spécifié.

Le dossier de signets que vous désignez pour recevoir les boutons de votre barre d'outils personnelle peut contenir des signets ou d'autres dossiers. Autrement dit, les dossiers de signets peuvent être incorporés dans votre dossier de barre d'outils personnelle.

Vous pouvez ajouter et supprimer des boutons de la barre d'outils personnelle et les ordonner de la même façon que vous ajoutez, supprimez ou ordonner des signets. Pour désigner les boutons de la barre d'outils personnelle, il suffit de les stocker dans un dossier de barre d'outils personnelle désigné.

Si vous avez un bouton de barre d'outils pour un signet particulier, vous pouvez afficher la page en cliquant sur ce bouton. Si vous avez un bouton de barre d'outils pour un dossier de signets, vous pouvez afficher un menu déroulant contenant chaque signet du dossier en cliquant sur ce bouton.

Comment spécifier un dossier de signets comme dossier de barre d'outils personnelle

  1. Sélectionnez l'option Modifier des signets du menu Signets afin d'ouvrir la fenêtre Signets. Une autre solution consiste à sélectionner l'option à tiroirs Signets du menu Communicator, puis l'option Modifier des signets.
  2. Dans la fenêtre Signets, sélectionnez le dossier de signets dont vous voulez que les éléments apparaissent sur la barre d'outils.
  3. Sélectionnez l'option Ajouter dans le dossier de barre d'outils du menu Affichage.
Les éléments contenus dans le dossier que vous avez désigné apparaissent sous forme de boutons de la barre d'outils personnelle.

Vous pouvez également créer un nouveau dossier nommé « Dossier de barre d'outils personnelle », qui vous servira automatiquement de dossier de barre d'outils personnelle. Ce nom est utilisé par défaut pour le dossier de barre d'outils personnelle lorsqu'aucun autre nom de dossier n'a été spécifié.

Comment ajouter un bouton de barre d'outils pour un signet ou un dossier de signets particulier

ou la ressource X ci-dessous :

Netscape*TopLevelShell.geometry: =620x950+630+40

Pour définir la taille de chacune des fenêtres, définissez les ressources X suivantes :

Netscape*Navigator.geometry: WxH+X+Y (fenêtre Netscape)
Netscape*Mail.geometry: WxH+X+Y (fenêtre Messenger)
Netscape*News.geometry: WxH+X+Y (fenêtre Forums)
Netscape*Bookmark.geometry: WxH+X+Y (fenêtre Signets)
Netscape*AddressBook.geometry: WxH+X+Y (fenêtre Carnet d'adresses)
Netscape*Composition.geometry: WxH+X+Y (fenêtre Rédaction de message)
Netscape*TopLevelShell.geometry: WxH+X+Y (donne la même taille à toutes les fenêtres mentionnées ci-dessus.)

L'option -geometry de la ligne de commande définit la taille des fenêtres de Communicator.

Fichier Netscape.ad

Vous pouvez modifier les couleurs et les images par défaut de l'arrière-plan à partir du fichier Netscape.ad. Vous pouvez également modifier les polices des fenêtres Messenger, Forums, Signets et Carnet d'adresses. Pour éviter de mélanger les ressources des différentes versions, vous ne devriez installer que les ressources nécessaires plutôt que la totalité du fichier Netscape.ad. Vous pouvez copier les quelques ressources dont vous avez besoin dans le fichier.Xdefaults de votre répertoire principal.

Les polices suivantes sont utilisées dans les listes de la fenêtre de résumé. Notez qu'aucun espace ne doit terminer les lignes.

*XmLGrid*fontList:\
-*-helvetica-medium-r-*-*-*-100\
-*-*-*-*-iso8859-*,\
-*-helvetica-bold-r-*-*-*-100\
-*-*-*-*-iso8859-*=BOLD,\
-*-helvetica-medium-o-*-*-*-100\
-*-*-*-*-iso8859-*=ITALIC

Options de la ligne de commande

Dans la liste ci-dessous, les arguments qui ne sont pas des commutateurs (variables) sont interprétés comme des fichiers ou comme des URL à télécharger :

-help (donne la liste des options)
-version (pour afficher le numéro de version et la date de compilation)
-display (pour indiquer le serveur X à utiliser)
-geometry <=WXH+X+Y> (pour positionner une fenêtre et la dimensionner)
-visual (pour utiliser un serveur d'affichage spécifique)
-install (pour installer une carte des couleurs personnelle)
-no-install (pour utiliser la carte des couleurs par défaut)
ncols (si -install n'est pas utilisée, définit le nombre maximal de couleurs à allouer pour les images)
-mono (force l'affichage des images en 1 bit de profondeur)
-iconic (pour démarrer sous forme d'icône)
-xrm (pour définir une ressource X donnée)
-remote (pour exécuter une commande dans un processus Communicator en cours d'exécution)
-id (l'identificateur de la fenêtre X à laquelle les commandes -remote seront envoyées; si non défini, la première fenêtre trouvée est utilisée)
-raise (lorsque les commandes -remote suivantes entraînent le passage de la fenêtre au premier plan)
-noraise (lorsque les commandes -remote suivantes ne provoquent pas le passage de la fenêtre au premier plan)


Fonctionner avec OLE

La spécification OLE (Object Linking and Embedding) fournit un moyen aux applications compatibles OLE de fonctionner de manière imbriquée les unes dans les autres. Une application qui est un serveur OLE peut fonctionner au sein d'un conteneur OLE.

Par exemple, si Communicator fonctionne en tant que serveur OLE, il peut être affiché au sein d'une application conteneur telle que Wordpad ou Excel. De cette façon, vous obtenez un navigateur Web totalement fonctionnel, imbriqué dans vos documents ou feuilles de calcul. De même, si Communicator fonctionne en tant que conteneur OLE, vous pouvez afficher une application telle que Wordpad ou Excel, à condition que le source HTML de la page utilise l'étiquette EMBED pour désigner le document incorporé du serveur

Un serveur OLE peut être activé en place. C'est-à-dire, lorsque vous activez (en cliquant deux fois) l'objet OLE, celui-ci reste stationnaire et fonctionne au sein de l'application (sans produire de nouvelle fenêtre). Les serveurs OLE peuvent également se comporter comme des miniserveurs (en raison de la compatibilité avec OLE 1). Lorsque vous activez un miniserveur dans votre document conteneur, l'application d'origine est activée et fonctionne dans une nouvelle fenêtre. La plupart des conteneurs de type OLE 2, y compris Communicator, peuvent se comporter comme un conteneur de type OLE 1 si vous maintenez enfoncée la touche Ctrl et cliquez deux fois sur l'objet OLE incorporé.

Les serveurs OLE, lorsqu'ils sont activés en place, remplacent l'interface utilisateur de leur application hôte. Par exemple, si vous créez un document Word dans lequel vous insérez un objet Communicator et que vous cliquez deux fois sur l'application Communicator incorporée, la barre d'outils de Word est remplacée par celle de Communicator et les menus de Word sont remplacés par ceux de Communicator.


Installer et utiliser Media Player

Netscape Media Player est un module externe qui permet de recevoir des données audio de grande qualité et du multimédia synchronisé directement sur votre bureau. Media Player est utilisé avec Netscape Media Server.

Pour installer Media Player, utilisez le programme d'installation ou le script qui accompagne le logiciel et suivez les instructions affichées à l'écran.

Pour exécuter Media Player, vous devez spécifier le type de votre connexion à Internet. Si vous utilisez Windows, vous devez fournir cette information au cours du processus d'installation. Si vous utilisez Mac OS ou Unix, vous devez fournir cette information après l'installation.

Les deux types de connexion à Internet sont TCP et UDP.

Si vous souhaitez changer ces spécifications après avoir installé Media Player, utilisez la boîte de dialogue Propriétés. Pour cela, cliquez avec le bouton droit de la souris sur l'interface de Media Player (Option-clic sous Mac OS) et sélectionnez l'option Propriétés. Choisissez l'option Requête Multicast, Requête d'encadrement RTP ou Requête de transport TCP/IP et cliquez sur OK.

Cliquez sur les commandes de Media Player (semblables à ceux d'un lecteur audio classique) qui apparaissent sur une page HTML :


Définir les propriétés de Media Player

Cliquez sur le bouton Options (s'il fait partie des commandes du lecteur) et sélectionnez l'option Propriétés dans le menu déroulant qui apparaît.

Si le bouton Options n'apparaît pas, vous pouvez tout de même afficher le menu déroulant :

Paramètres Largeur de bande

La largeur de bande est le nombre maximal de bits par seconde distribué par un réseau ou la quantité d'informations transmise sur un canal de communication. L'utilisation de paramètres de largeur de bande corrects permet d'éviter des délais de transmission éventuels.

Pour choisir les paramètres de la largeur de bande :

  1. À partir du menu déroulant, sélectionnez la largeur de bande que vous utilisez ou cochez la case Personnaliser et tapez une largeur de bande.
  2. Cliquez sur OK.

Pour que ces valeurs deviennent le paramètre par défaut, cochez la case Définir par défaut.

Paramètres Connexion

Pour choisir une connexion UDP :

  1. Tapez dans le champ Port de base UDP le numéro du port sur lequel vous souhaitez que Media Player écoute. (La valeur par défaut est 13000.)
  2. Tapez dans le champ Intervalle du port UDP l'intervalle des numéros de port UDP sur lesquels vous souhaitez que Media Player écoute. (La valeur par défaut est 100.) Par exemple, si l'intervalle est 100, Media Player écoutera les numéros de port compris entre 13000 et 13100.
  3. Pour demander une connexion Multicast, si elle est disponible, sélectionnez l'option Requête Multicast. (La transmission Multicast est décrite ci-dessous.)
  4. Pour demander un encadrement RTP, sélectionnez l'option Requête d'encadrement RTP. L'encadrement RTP consomme une plus grande largeur de bande que l'assemblage de paquets implémenté par Media Player.
  5. Pour choisir une connexion TCP/IP au lieu d'une connexion UDP, sélectionnez l'option Requête de transport TCP/IP.

Pour exécuter Media Player, vous devez spécifier le type de connexion à Internet. Sous Windows, vous devez fournir cette information au cours de l'installation. Sous Mac OS ou Unix, vous devez fournir cette information après l'installation.

Les deux types de connexion à Internet sont TCP et UDP.

Si vous souhaitez changer ces spécifications après avoir installé Media Player, utilisez la boîte de dialogue Propriétés. Pour cela, cliquez avec le bouton droit de la souris sur l'interface de Media Player (Option-clic sous Mac OS) et sélectionnez l'option Propriétés. Choisissez l'option Requête Multicast, Requête d'encadrement RTP ou Requête de transport TCP/IP et cliquez sur OK.

La transmission Multicast autorise la distribution de paquets de données à de multiples destinations. Avec la transmission Multicast, vous pouvez envoyer un paquet d'un serveur à de multiples clients. Les clients se règlent sur la transmission Multicast du serveur. De cette manière, il n'est pas nécessaire d'envoyer un paquet individuellement à chaque ordinateur. Cela évite les délais de transmission de données. En cas de problèmes lors de la transmission Multicast, contactez votre administrateur système.

Paramètres Proxy

Pour accéder à des trains de fichiers son provenant d'un serveur Netscape Media Server via un serveur Netscape Proxy Media Server :

  1. Sélectionnez l'option Activer le Proxy.
  2. Entrez le nom du serveur Proxy dans le champ Nom du Proxy.
  3. Entrez le numéro du port sur lequel il écoute dans le champ Port du Proxy.
  4. Cliquez sur OK.
Pour que ces valeurs deviennent le paramètre par défaut, cochez la case Définir par défaut.

Paramètres Clip

Pour choisir les paramètres clip :

  1. Pour la tolérance à la perte de paquets, cliquez sur Elevée, Modérée ou Faible. La valeur Elevée indique que Media Player demandera à l'utilisateur d'interrompre le clip si au moins 30 % des paquets sont perdus lors de la transmission. La valeur Faible indique que Media Player demandera à l'utilisateur d'interrompre le clip si au moins 10 % des paquets sont perdus lors de la transmission.
  2. Dans le champ Mise en tampon anticipée du son, entrez le nombre de secondes du clip à retenir ou à mettre en tampon de manière anticipée avant de procéder à sa lecture.
  3. Si vous souhaitez que Media Player télécharge une méthode de compression ou décompression (codec) pour décompresser un fichier son, sélectionnez l'option Tenter de télécharger un codec si le système n'en contient pas.
  4. Sélectionnez l'option Echantillonner à nouveau les fréquences d'échantillonnage non standard si le clip que vous écoutez ne vous semble pas correct.
  5. Si vous ne souhaitez écouter que la partie audio d'une présentation multimédia, sélectionnez l'option Désactiver le multimédia synchronisé.
  6. Cliquez sur OK.

Pour que ces valeurs deviennent le paramètre par défaut, cochez la case Définir par défaut.

Paramètres Lecture locale

La lecture locale permet de lire des fichiers son sans accéder au serveur média, à condition que les fichiers soient stockés sur votre disque dur, même si vous n'avez pas accès au réseau ou au serveur Netscape Media Server. Cette option permet également de distribuer facilement des contenus audio et vidéo. Par exemple, vous pouvez créer un fichier .lam, le lire avec Media Player et publier son contenu HTML sans devoir accéder au serveur Netscape Media Server. De plus, ce mécanisme vous permet de publier un contenu identique à celui qui se trouve sur le réseau. L'option Lecture locale est activée par défaut.

Pour définir les paramètres de lecture locale :

  1. Pour recevoir la meilleure qualité de son, cochez la case Utiliser la meilleure qualité pour la lecture locale.
  2. Pour désactiver l'option de lecture locale, sélectionnez l'option Désactiver la lecture locale, toujours passer par le réseau. Si l'option de lecture locale est désactivée, Media Player utilisera les fichiers du serveur média, même s'ils existent localement.
  3. Pour désactiver les descriptifs qui surgissent lorsque vous gardez la souris au-dessus des boutons Lecture, Pause et Arrêt, sélectionnez l'option Désactiver les info-bulles.

Statistiques sur le clip et informations techniques

Cliquez sur le bouton Options (s'il apparaît parmi les commandes du lecteur) et sélectionnez l'option Informations sur le clip.

Si le bouton Options n'apparaît pas, vous pouvez tout de même afficher le menu déroulant :

Vous pouvez choisir les options Statistiques ou Informations techniques.

Informations techniques

Ces informations comportent le nom du serveur média et son numéro de port, le nom de fichier et la version du clip audio, des informations relatives au mode de transport et des détails sur le format audio.

Statistiques

Ces informations comprennent la durée totale du clip, le nombre total de paquets de données reçus et perdus. Au cours de la lecture du clip, vous pouvez cliquer sur le bouton Actualiser pour afficher les statistiques les plus récentes. Le nom du clip et les informations de copyright peuvent également apparaître ici.


À propos du chiffrement

Les logiciels Netscape permettent aux ordinateurs de transférer des informations de telle façon qu'il est plus difficile de détourner des formulaires et du courrier que vous envoyez ou des pages et du courrier que vous recevez. Des problèmes de sécurité se posent car les informations qui voyagent sur Internet prennent souvent des chemins détournés, en passant par plusieurs intermédiaires, pour arriver à l'ordinateur de destination. Vous ne pouvez pas contrôler le chemin réel qu'empruntera l'information pour parvenir à destination.

Au fur et à mesure que vos informations voyagent sur les ordinateurs d'Internet, tout ordinateur intermédiaire a la possibilité d'épier et de faire des copies. L'ordinateur intermédiaire peut même vous tromper et échanger des informations avec vous en se faisant passer pour l'ordinateur destinataire que vous aviez choisi. Ces possibilités rendent le transfert des informations confidentielles, telles que des mots de passe ou des numéros de carte de crédit, potentiellement dangereux.

Communicator et les serveurs Netscape utilisent une technologie de cryptographie à clef publique brevetée par le RSA, ainsi que des logiciels personnalisés pour vous permettre d'envoyer et de recevoir des informations à l'aide des mécanismes de chiffrement intégrés. Les protocoles utilisent des standards ouverts.

Votre ordinateur et celui de destination peuvent chiffrer et déchiffrer vos informations. Lors de son transfert, l'information chiffrée est brouillée ; un ordinateur intermédiaire peut poursuivre son acheminement, voire en faire des copies, mais il ne dispose pas des outils pour la déchiffrer.

Communicator et les serveurs Netscape fournissent un mécanisme d'authentification des serveurs d'Internet, qui est une partie intégrante de la technologie de cryptographie. Cela complique la tâche d'un ordinateur intermédiaire qui souhaiterait se faire passer pour l'ordinateur avec lequel vous souhaitez communiquer.

Communication d'informations telles que les numéros de cartes de crédit

Vous pouvez taper votre numéro de carte de crédit dans un formulaire chiffré de Netscape Communicator (https) et transmettre ce formulaire sur Internet à un serveur SSL pour réduire le risque qu'un tiers ne s'approprie les informations de votre carte de crédit. Les mécanismes de cryptographie proposés par la technologie Netscape contribuent à protéger les transactions commerciales ou tout autre type de communication des détournements et des fraudes qui peuvent avoir lieu quand l'information transite sur les ordinateurs d'Internet.

Les communications chiffrées n'éliminent pas tous les soucis d'un utilisateur d'Internet. Il vous faut, par exemple, faire confiance à votre administrateur de serveur avant de participer à une transaction commerciale avec votre carte de crédit. La technologie de sécurité contribue à la protection des canaux de communication sur Internet ; elle ne vous protège pas des personnes malhonnêtes ou négligentes avec qui vous pouvez être amenés à traiter des affaires.

La situation est analogue si vous donnez votre numéro de carte de crédit par téléphone. Vous pouvez être persuadé que personne n'a entendu la conversation (confidentialité) et que la personne au bout de la ligne travaille effectivement pour la société auprès de laquelle vous souhaitez faire un achat (authentification), mais vous devez également faire confiance à la personne et à la société.

Les administrateurs de serveurs doivent prendre des précautions supplémentaires pour se prémunir contre des brèches de sécurité. Afin de protéger vos informations, ils doivent veiller à la sécurité physique des serveurs et contrôler les accès aux mots de passe et aux clefs privées.

Certificats personnels et de site pour des communications signées

Les certificats personnels vous identifient auprès des autres utilisateurs sur Internet et permettent le chiffrement de personne à personne. Ils servent de carte d'identité à signature numérique. Certains sites peuvent exiger que vous leur présentiez un certificat personnel avant de pouvoir accéder à leurs serveurs.

Les certificats personnels sont également utilisés pour les communications par courrier électronique signé. Vous devrez avoir un certificat personnel pour signer les messages de courrier électronique et pour que les autres personnes puissent vous envoyer du courrier électronique chiffré.

Vous trouverez des informations sur les certificats personnels et sur la manière de les obtenir sur la page Informations sur la sécurité (cliquez sur le bouton Sécurité de la barre d'outils). Sous la catégorie Certificats, vous trouverez des liens qui vous montrent vos certificats, les certificats des autres utilisateurs, les certificats de site et les autorités qui émettent des certificats.

Les certificats de site vous permettent d'identifier les autres utilisateurs sur Internet. Ils sont distribués aux organismes qui font fonctionner des serveurs.

Si vous êtes un administrateur de serveur et si vous souhaitez obtenir un certificat signé, vous devez soumettre une requête à une autorité de certification. Afin de fonctionner en utilisant les mécanismes de sécurité, un serveur SSL exige un certificat à signature numérique. Sans certificat, le serveur fonctionnera sans les mécanismes de sécurité. La procédure à suivre pour obtenir un certificat de site est détaillée dans la documentation du serveur Netscape.

La société Netscape Communications n'émet pas de certificats. Les certificats sont émis par une autorité de certification, qui est un organisme tiers. Des informations sur la classification des certificats et les tarifs des services qui leur sont associés peuvent être directement obtenues auprès de l'autorité de certification.


Reconnaître les indicateurs de sécurité

Les mécanismes de chiffrement et de certification sont intégrés à Communicator et à de nombreux types de serveur : les serveurs de pages Web, les serveurs de courrier électronique et de forums. Communicator utilise des fenêtres d'information, des éléments graphiques et des boîtes de dialogue pour vous indiquer à quel moment vous interagissez avec des sites serveurs et des applications de messagerie électronique qui disposent de mécanismes de chiffrement et de certification.

Des informations sur la sécurité peuvent être obtenues à la fois sur la page Informations sur la sécurité et sur la page Informations sur la page.

Comment interagir avec la page Informations sur la sécurité

  1. Cliquez sur le bouton Sécurité de la barre d'outils de navigation. Une autre solution consiste à cliquer sur l'icône en forme de cadenas dans le coin inférieur gauche d'une fenêtre ou de sélectionner l'option Informations sur la sécurité du menu Communicator.
  2. Cliquez sur une des catégorie du cadre. Ces catégories concernent les informations sur la sécurité (le statut), les certificats de site et personnels, les applications en cours, les mots de passe et les modules de cryptographie.
  3. Utilisez les champs et les boutons de droite pour interagir avec les mécanismes de sécurité disponibles.
  4. Cliquez sur le bouton Aide de chaque affichage pour obtenir des informations spécifiques à propos d'une catégorie.

Comment interagir avec la page Informations sur la page

  1. Sélectionnez l'option Informations sur la page du menu Affichage. La hiérarchie des URL de la page et les URL de chacun de ses composants apparaissent dans le cadre du haut.
  2. Cliquez sur un URL quelconque du cadre du haut pour afficher les informations qui s'y rapportent dans le cadre du bas. Les informations présentées dans le cadre du bas portent sur le chiffrement et les certificats spécifiques à cet URL.

Comment déterminer si les mécanismes de sécurité sont mis en place

Comment se connecter à un serveur HTTP doté des mécanismes de sécurité

Insérez la lettre s afin que l'URL commence par https://. Un tel URL indique que la page provient d'un serveur qui utilise le chiffrement. Dans le cas contraire, utilisez http://. Sélectionnez l'option Informations sur la page du menu Affichage pour obtenir des détails sur la sécurité.

De même, l'URL d'un forum qui commence par snews: (au lieu de news:) indique que la page provient d'un serveur de forums qui utilise le chiffrement (insérez la lettre s si votre serveur de forums est doté des mécanismes de sécurité). Tapez deux barres obliques (//) après les deux-points (:) pour utiliser des serveurs de forums différents du serveur par défaut.

Comment identifier les pages semi-protégées

Une page chiffrée ne peut contenir des informations incorporées que si elles proviennent de sources dotées d'un mécanisme de chiffrement. Dans une page semi-protégée, l'information non chiffrée est remplacée par une icône de sécurité mixte. Si vous affichez à l'écran une page semi-protégée, une boîte de dialogue de notification apparaît.

Si un formulaire apparaît sur une page chiffrée, mais si le processus de soumission n'est pas chiffré, une boîte de dialogue de notification apparaît. Elle vous informe que, bien que la page soit chiffrée, la soumission que vous êtes sur le point de faire ne l'est pas et qu'elle peut être compromise par quelqu'un d'autre. Par conséquent, si vous envoyez des mots de passe, un numéro de carte de crédit ou toute autre information dont vous souhaitez préserver la confidentialité, vous pouvez annuler votre soumission.

Si une page non chiffrée contient des informations chiffrées (qu'elles soient incorporées ou qu'elles fassent partie d'un formulaire), aucune action spéciale ne sera entreprise. La page est considérée comme étant non chiffrée. Cela est également vrai des formulaires non chiffrés dont le processus de soumission est chiffré.

Comment identifier les boîtes de dialogue de notification

Plusieurs boîtes de dialogue de notification vous informent du statut de protection des pages. Vous pouvez choisir si vous voulez recevoir ou pas ces boîtes de dialogue en sélectionnant les options de la page Informations sur la sécurité. Une autre solution consiste à désélectionner l'option Afficher ce message d'alerte la prochaine fois.

Vous serez averti dans les cas suivants :


À propos de la technologie de clef publique

Le technologie de clef publique qui fonctionne avec Communicator et des serveurs Netscape est souvent décrite à l'aide d'une terminologie obscure. L'explication du fonctionnement des clefs publiques donné ci-dessous peut apporter un éclairage intéressant et compléter vos connaissances sur l'aspect sécurité d'Internet.

La clef de sécurité d'un ordinateur est en réalité un fichier. Une clef ne s'ouvre pas de la même façon qu'un document ou qu'une application de traitement de texte. Les clefs peuvent s'apparenter à des badges magnétiques auxquels on a ajouté de puissants mécanismes de chiffrement et de déchiffrement.

Il existe deux sortes de clefs qui vous seront nécessaires : les clefs privées et les clefs publiques. Une clef privée est stockée sur votre ordinateur et vous ne devez pas la divulguer. Par contre, une clef publique peut être copiée autant de fois que nécessaire et peut être donnée à tout le monde.

Vous avez besoin de ces deux sortes de clefs car elles sont fondamentalement liées. (C'est comme un pantalon : vous achetez toujours les deux jambes.) Vous pouvez distribuer votre clef publique à qui bon vous semble, mais pour que la clef puisse remplir son rôle de déchiffrement, elle doit être mise en correspondance avec la clef qui lui est liée.

Les clefs publiques et privées peuvent chiffrer et déchiffrer (en tant que paire) de l'information. Elles fonctionnent principalement de deux façons.

En résumé, vos clefs publique et privée (qui sont des fichiers) sont liées par un algorithme de cryptographie très puissant qui ne peut être décodé qu'à l'aide d'un ensemble de ressources informatiques très important. Aucune personne en possession de clefs ne peut déchiffrer des messages qui vous sont destinés et qui sont chiffrés avec votre clef publique. Personne ne peut se faire passer pour vous, car leurs clefs ne peuvent pas envoyer de messages chiffrés avec votre clef privée.


À propos de la technologie de sécurité de Netscape

La technologie de sécurité sur Internet développée par Netscape Communications pour garantir la confidentialité et l'authenticité des communications, SSL (Secure Sockets Layer), est une plate-forme ouverte, mise dans le domaine public pour la communauté Internet. Netscape Communicator et les serveurs SSL de Netscape proposent cette technologie non propriétaire.

Les mécanismes de sécurité intégrés à Netscape Communicator et aux serveurs SSL contribuent à la protection des communications Internet en proposant :

En l'absence de chiffrement, l'information transmise sur Internet est sujette aux fraudes et autres abus de la part des intermédiaires. L'information transmise de votre ordinateur à un serveur utilise un processus d'acheminement qui peut impliquer de nombreux systèmes informatiques. Chacun de ces systèmes informatiques représente un intermédiaire qui peut potentiellement accéder au flux d'information qui transite entre votre ordinateur et un serveur protégé. Le chiffrement complique la tâche de ces intermédiaires qui auraient l'intention de vous tromper, de vous épier, de copier ou d'altérer vos communications. Le réseau Internet ne dispose pas de mécanismes de chiffrement intégrés.

Le protocole SSL met en place l'authentification des serveurs, le chiffrement des données et l'intégrité des messages. SSL est une couche située au-dessous des protocoles d'application tels que HTTP, SMTP, Telnet, FTP, Gopher et NNTP, mais au-dessus du protocole de connexion TCP/IP. Cette conception permet à SSL de fonctionner indépendamment des protocoles d'application d'Internet.

Le protocole SSL fonctionne en complément des autres protocoles sans limiter les possibilités d'accès. Vous pouvez utiliser Netscape Communicator pour afficher des pages chiffrées ou non chiffrées. Les formulaires en ligne peuvent être chiffrés si la procédure de soumission est un URL de type https:// à un serveur SSL.

Vous pouvez enregistrer une page chiffrée (bien que les pages chiffrées ne soient pas stockées dans le cache sur disque au fil des sessions). Vous pouvez également examiner le source HTML d'une page chiffrée. Le chiffrement porte sur la transmission de la page sans affecter votre capacité à traiter la page.

Degré de protection offert par la sécurité SSL

SSL utilise les technologies de cryptographie et d'authentification développées par RSA Data Security Inc. Par exemple, l'implémentation de SSL exportée par Netscape Communicator (en accord avec le gouvernement américain) utilise une taille de clef de 40 bits de classe moyenne pour l'algorithme RC4 de chiffrement de flux. Le chiffrement effectué entre vous et un serveur reste en place pour plusieurs connexions : les efforts déployés pour casser le chiffrement d'un message ne peuvent être simplement réutilisés pour casser le message suivant.

Un message chiffré avec la technique RC4 sur 40 bits nécessitera en moyenne 64 MIPS-années pour être déchiffré (c'est-à-dire qu'une machine de 64 MIPS devra se consacrer au traitement des données pendant un an pour casser le chiffrement du message). La version sur 128 bits de classe haute réservée aux États-Unis fournit une protection exponentiellement plus vaste. Les efforts requis pour déchiffrer tout échange d'information sont extrêmement dissuasifs. L'authentification des serveurs utilise la cryptographie RSA à clef publique combinée aux certificats numériques ISO X.509.

Netscape Communicator et les serveurs SSL authentifient des serveurs en utilisant des certificats numériques signés émis par des organismes tiers sûrs, appelés autorités de certification. Un certificat numérique vérifie la relation qui existe entre la clef publique d'un serveur et son identification (de même que le permis de conduire atteste de la relation entre votre photo et votre identité). Des vérifications cryptographiques, utilisant des signatures numériques, garantissent que vous pouvez faire confiance à l'information présentée par un certificat.


À propos du protocole FTP

Lorsque vous accédez à une page dont l'URL commence par ftp (file transport protocol), vous pouvez parcourir les dossiers/répertoires, examiner les fichiers (y compris les fichiers HTML et les fichiers image), télécharger des fichiers depuis ou vers un serveur FTP. Par exemple, vous pouvez utiliser des liens à des sites de serveur FTP pour télécharger les mises à niveau de Communicator et des utilitaires.

Communicator vous permet d'accéder aux serveurs FTP de la même manière que vous accédez aux serveurs (HTTP) du World Wide Web. Cependant, vous vous apercevrez que le répertoire FTP et ses pages ont un formatage minimal. Lorsque cela est possible, Communicator affiche le type, la taille, la date et une courte description de chaque fichier du répertoire. Un répertoire se présente sous la forme d'une liste de liens : chacun d'eux est précédé d'une petite icône qui indique s'il s'agit d'un autre répertoire ou d'un fichier. Si vous cliquez sur un lien de type répertoire, un sous-répertoire sera affiché. Habituellement, un lien qui représente le répertoire-parent est situé au sommet d'un sous-répertoire.

Si vous cliquez sur un fichier binaire ou sur un programme, le logiciel sera automatiquement téléchargé dans un dossier sur votre ordinateur. (Sous Mac OS et Unix, ce dossier peut être défini dans le panneau Applications). Après le téléchargement, Communicator recherche automatiquement un utilitaire approprié pour lancer le fichier. Si l'utilitaire requis n'est pas disponible, une boîte de dialogue vous demande si vous souhaitez enregistrer ou ignorer le logiciel téléchargé.

Notez que tous les fichiers ne peuvent pas être téléchargés via FTP. Si vous utilisez le menu déroulant ou cliquez sur un lien tout en maintenant enfoncée la touche Maj (touche Option sous Mac OS), une boîte de dialogue apparaîtra, vous permettant d'enregistrer sur le disque une page HTTP, un fichier image ou tout autre type de fichier.

Après avoir accédé à un serveur FTP, vous pouvez transmettre des fichiers sur ce site en faisant glisser des fichiers situés sur votre bureau et en les déposant dans Navigator. Après avoir accédé au site FTP, une autre solution consiste à sélectionner l'option Télécharger le fichier du menu Fichier. Dans la boîte de dialogue qui apparaît, sélectionnez sur votre disque dur le fichier que vous souhaitez transmettre. Notez que vous devez avoir des privilèges « d'écriture » sur le serveur FTP (permission accordée par le site) pour télécharger des fichiers.


À propos des utilitaires et des types MIME

Les utilitaires étendent les capacités de Communicator à interpréter et à afficher différentes sortes de fichiers. Communicator est doté d'un mécanisme intégré pour lire les pages au format HTML ainsi que les formats des fichiers image tels que GIF, JPEG et XBM. Cette fonctionnalité peut être étendue à tous les formats de fichier reconnus par les utilitaires.

Pour garder une trace des formats de fichier qui nécessitent des utilitaires, Communicator maintient une correspondance entre des formats de fichier et des utilitaires. Lorsque Communicator extrait un fichier dont il ne peut pas lire le format, il recherche dans la table de correspondance une application capable de gérer ce format.

Pour installer et configurer des utilitaires (nombre d'entre eux sont déjà configurés), sélectionnez l'option Préférences du menu Edition et sélectionnez la sous-catégorie Applications de la catégorie Avancées. Lorsque vous cliquez sur le bouton Nouveau type ou Modifier, une boîte de dialogue apparaît qui vous permet d'ajouter ou de modifier des informations comme les extensions (suffixes) des fichiers ou les actions associées aux utilitaires ou aux modules externes.

Différents types d'utilitaires

Il existe des utilitaires qui vous permettent de décompresser automatiquement les applications téléchargées, de lire des fichiers son, de projeter des films ou d'obtenir un meilleur affichage des images. La plupart d'entre eux sont gratuits ou sont des partagiciels.

Voici un échantillon de catégories de logiciels qui utilisent des formats de fichier qui nécessitent l'emploi d'utilitaires.

Types MIME

MIME (Multipurpose Internet Mail Extensions) est une méthode standardisée pour organiser des formats de fichier divergents. Cette méthode organise les formats de fichier en fonction du type MIME du fichier.

Lorsque Communicator récupère un fichier à partir d'un serveur, celui-ci l'informe du type MIME du fichier. Ainsi, les serveurs HTTP utilise le formatage HTML.

Communicator utilise le type MIME pour déterminer si le format du fichier peut être lu par ses fonctionnalités intégrées ou dans le cas contraire, s'il existe un utilitaire capable de lire le fichier.

Si les serveurs ne fournissent pas le type MIME avec le fichier, Communicator interprète l'extension du fichier (un suffixe ajouté au nom de fichier). Par exemple, l'extension .html du nom du fichier index.html suggère qu'il s'agit d'un fichier au format HTML. De même, une extension .zip suggère un fichier compressé, une extension .rtf, un fichier au format « Rich Text Format », etc. Vous pouvez examiner et configurer la correspondance établie entre tous les types MIME et les utilitaires dans le panneau Applications.

Le protocole MIME est utilisé dans les communications sur Internet pour transmettre des documents aux formats variés. Le protocole prend en charge ces difficultés en établissant une relation (une correspondance) entre le format du contenu d'un document et le format de la représentation informatique du document.

Les applications qui utilisent la méthode MIME peuvent déterminer le type de logiciel nécessaire pour interpréter le contenu du document transmis. Avec l'utilitaire adéquat et les correspondances du panneau Applications, Communicator peut lancer automatiquement les actions nécessaires pour vous permettre d'accéder au contenu transmis dans de nombreux formats différents.

Types Unix et fichiers Mailcap

Sous Unix, la mise en correspondance des types MIME utilise deux types de fichier : un fichier Types et un fichier Mailcap. Chacun de ces fichiers peut être configuré par le biais de fichiers généraux, personnels ou par défaut.

Un fichier Types fait correspondre un format de fichier (à gauche) à un suffixe de nom de fichier qui l'identifie (à droite). Voici un extrait d'un fichier .mime.types :

application/dvi dvi
image/jpeg jpeg
audio/basic au, wav

Un fichier Mailcap fait correspondre un format de fichier (à gauche) à l'utilitaire capable d'interpréter ce format (à droite). Voici un extrait d'un fichier .mailcap :

application/dvi; dvi-app-name %s
image/*; xv %s
audio/basic; audiotool %s

A titre d'exemple, un fichier son monSon.au sera lu à l'aide de l'utilitaire audiotool.


Accéder à Internet

Certaines sociétés disposent d'un réseau relié à Internet via des lignes de communication dédiées. Celles qui disposent de ressources moins importantes (c'est le cas de la plupart des particuliers) accèdent à Internet via un fournisseur de services Internet, une société qui met à disposition ses lignes de communications dédiées.

Si vous possédez un modem, vous pouvez appeler un fournisseur de services et ses ordinateurs vous connecteront à Internet. Ce service est habituellement payant. L'accès commuté signifie que le modem relié à votre ordinateur peut se connecter à un autre ordinateur qui est branché sur Internet.

Les techniques d'accès commuté les plus répandues sont les comptes shell et les comptes SLIP/PPP. Lorsque vous utilisez un compte shell, vous appelez l'ordinateur d'un fournisseur d'accès et utilisez le système d'exploitation Unix pour vous connecter indirectement à Internet. Avec une connexion indirecte, votre ordinateur n'interagit pas avec les ordinateurs d'Internet. Dans de nombreux cas, lorsque vous téléchargez un fichier à partir d'un site Internet, ce fichier est enregistré sur l'ordinateur du fournisseur de services plutôt que sur le votre. Vous devez ensuite transférer le fichier de l'ordinateur de votre fournisseur de services sur le votre. Bien que leurs possibilités soient limitées, les comptes shell ont été pour des raisons historiques moins coûteux que les comptes à accès direct.

En utilisant un compte SLIP ou PPP, vous appelez l'ordinateur de votre fournisseur de services et exécutez des applications qui vous connectent directement à Internet. Avec une connexion directe, votre ordinateur peut utiliser des navigateurs munis d'interfaces graphiques conviviales pour interagir avec les ordinateurs d'Internet. Une connexion directe permet de télécharger des fichiers à partir de sites distants directement sur votre ordinateur. Un accès SLIP ou PPP à Internet est plus performant et plus commode qu'un compte shell.


À propos de SLIP et PPP

SLIP (Serial Line Internet Protoco) et PPP (Point-to-Point Protocol) sont des standards Internet pour transmettre des paquets IP (Internet Protocol) sur des lignes en série (des lignes téléphoniques). L'information sur Internet est assemblée en paquets IP, une méthode pour renfermer les données dans de petites unités transmissibles (elles sont empaquetées d'un côté et désempaquetées de l'autre côté).

Un fournisseur de services Internet peut proposer SLIP, PPP ou les deux. Votre ordinateur doit utiliser un kit de connexion (le plus souvent fourni par le fournisseur de services) qui correspond au protocole du logiciel de connexion du serveur. PPP est un protocole plus récent et plus fiable que SLIP.

CSLIP

CSLIP (Compressed Serial Line Internet Protocol) est une version de SLIP qui prend en charge la compression.

Dynamic SLIP et Static SLIP

Lorsque vous utilisez une connexion à Internet SLIP ou PPP, le serveur de votre fournisseur de services identifie votre ordinateur via l'adresse IP qui lui a été attribuée (un nombre tel que 192.34.32.81). En utilisant dynamic SLIP, une adresse IP temporaire (qui n'est valable que pour la session en cours) est tirée d'un ensemble d'adresses IP maintenu par le serveur et attribuée à votre ordinateur. Si static SLIP est utilisé, une adresse IP permanente est attribuée à votre ordinateur. Elle est n'est allouée qu'une fois lorsque votre compte est installé et est utilisée d'une session à l'autre. Static SLIP signifie que vous disposez d'une adresse IP statique.


À propos de TCP/IP et de Winsocks

TCP/IP

TCP/IP (Transmission Control Protocol/Internet Protocol) est le protocole de communication standard utilisé par les ordinateurs d'Internet. Pour communiquer en utilisant TCP/IP, un PC doit posséder un ensemble de composants logiciels appelé pile TCP/IP (une pile est intégrée à Windows 95). En général, Mac OS utilise un logiciel propriétaire appelé MacTCP. Le protocole TCP/IP est intégré à la plupart des systèmes Unix.

Pile TCP/IP

Seule la plate-forme PC nécessite une pile TCP/IP. Pour établir une connexion à Internet, votre PC a besoin d'une application comme Communicator et d'une pile TCP/IP qui consiste en un logiciel TCP/IP, un logiciel des sockets (Winsock.DLL) et un pilote de matériel (pilotes de paquets). Plusieurs piles TCP/IP très répandues sont disponibles sous Windows, y compris des piles en partagiciel.

Winsocks

Winsocks (contraction de Windows Sockets) est un ensemble de spécifications ou de standards destinés aux programmeurs d'applications TCP/IP (des applications communiquantes comme Communicator) pour Windows.


À propos des passerelles de sécurité

Une passerelle de sécurité (« firewall ») protège un ou plusieurs ordinateurs pouvant se connecter à Internet contre des accès par des ordinateurs extérieurs, également connectées à Internet. Une passerelle de sécurité est une configuration réseau, composée en général d'équipements matériels et de logiciels, qui établit une frontière entre les ordinateurs en réseau derrière la passerelle et ceux situés à l'extérieur de celle-ci. Les ordinateurs situés derrière la passerelle constituent un sous-réseau et disposent de capacités d'accès interne et de ressources partagées qui ne sont pas accessibles par les ordinateurs externes.

Le plus souvent, une seule machine au sommet de la passerelle de sécurité est autorisée à accéder à la fois aux ordinateurs internes et externes. Étant donné que la machine au sommet de la passerelle interagit directement avec Internet, des mesures de sécurité strictes sont exigées pour se prémunir contre des accès non autorisés de la part d'ordinateurs externes.

Une passerelle de sécurité est en général utilisée pour protéger l'information, telle que le courrier électronique ou des fichiers de données, dans un bâtiment ou au site d'un organisme. La passerelle de sécurité réduit les risques d'intrusion des personnes non autorisées à partir d'Internet ; cependant, ces mesures de sécurité peuvent limiter les possibilités de ceux de l'intérieur qui souhaitent accéder à des informations situées à l'extérieur ou requérir l'utilisation de logiciels spécifiques. Une passerelle de sécurité peut être configurée pour utiliser des Proxy (ou SOCKS) qui désignent les accès à l'information des deux côtés de la passerelle de sécurité.


À propos des Proxy et de SOCKS

Proxy ou serveur Proxy

Un Proxy est un serveur spécial qui s'exécute en général avec des logiciels de passerelle de sécurité et qui permet l'accès à Internet à l'intérieur de la passerelle. Le serveur Proxy attend une requête provenant de l'intérieur de la passerelle, la redirige vers le serveur distant à l'extérieur de la passerelle, lit la réponse et la renvoie au client. Communicator vous permet de définir le nom et le numéro de port des serveurs Proxy dans le panneau de préférences Proxy, afin de résoudre les requêtes d'accès aux ressources Internet. Les protocoles comme HTTP, FTP, Gopher, WAIS et Security peuvent posséder des Proxy désignés. Les Proxy sont en général préférés à SOCKS car ils sont capables d'effectuer de la mise en cache, de l'enregistrement dans un journal de haut niveau et du contrôle d'accès.

SOCKS

SOCKS est un logiciel qui permet aux ordinateurs à l'intérieur d'une passerelle de sécurité d'accéder à Internet. Il est en général installé sur un serveur situé soit à l'intérieur soit au sommet de la passerelle de sécurité. Les ordinateurs à l'intérieur de la passerelle accèdent au serveur SOCKS comme clients pour pouvoir atteindre Internet. Communicator vous permet de définir le nom et le numéro de port de l'hôte SOCKS (serveur) dans le panneau Proxy. Sous Windows, l'hôte est défini dans le fichier registry (32 bits) ou dans le fichier INI (16 bits).

Vous devrez parfois relancer Communicator si vous avez modifié l'hôte SOCKS. Communicator gère la version 4 de SOCKS, définie par l'implémentation socks.cstc.4.1.


À propos de Gopher

Certaines informations sur Internet sont disponibles via des serveurs Gopher. Lorsque vous voulez accéder à des informations située sur un serveur Gopher, vous cliquez sur un lien dont l'URL commence par gopher (ou entrez l'URL dans la zone d'adresse).

Communicator vous permet d'accéder aux serveurs Gopher de la même manière que vous accédez aux pages (HTTP) du World Wide Web Les pages Gopher n'ont pas de formatage sophistiqué, mais des listes de menu permettent d'afficher le contenu des pages ou des sous-listes de menu.

Un menu se présente sous la forme d'une liste de liens, chaque lien étant précédé d'une petite icône qui indique le type de la ressource désignée par le lien. Par exemple, les liens Gopher peuvent vous conduire à :

Les index Gopher utilisent des pages de formulaires qui permettent de rechercher des informations sur les serveurs Gopher. Une page d'index propose habituellement un champ modifiable qui permet d'entrer une chaîne de recherche et un bouton pour que vous puissiez soumettre le formulaire au serveur. Les résultats de la recherche se présentent sous la forme d'une liste de menu Gopher qui contient les éléments satisfaisant vos critères de recherche.

Certains fichiers, comme de petits films numérisés, requièrent l'emploi d'utilitaires de Communicator. S'il est disponible, Communicator lance automatiquement l'utilitaire requis par le lien Gopher.



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