LES QUATRE DIABLES
	Un conte collectif
	Il y a très longtemps, à côté d'un magnifique château se trouvait une très grande forêt verte, extraordinaire, très agréable pour se promener ou des ruisseaux coulaient, où, pendant toute la journée les oiseaux gazouillaient de plaisir ; c'était un endroit féerique et enchanté. Un vrai paradis. Mais un jour quatre "diables" arrivèrent dans la forêt. Ils venaient de l'Enfer d'où ils s'étaient fait bannir parce qu'ils avaient embêté le curé diable et aussi parce qu'ils n'étaient pas assez méchants. VOILA ! !  Ils s'installèrent dans cette forêt où ils restèrent un jour à l'affût. Quand, dans l'après-midi, ils virent passer un petit groupe d'enfants qui jouait à cache-cache dans la forêt. Le premier diable s'apellait Hem-Fletcheur, le deuxième Hem-Jonas, le troisième Hem-Marcus et le quatrième Hem-Cornelius (ils parlaient tous très mal). Hem-Fletcheur, le plus cruel, proposa tout de suite d'en "choper" un pour pouvoir ensuite le torturer. Tout le monde dit "génial" sauf Hem-Cornélius qui demanda à quoi ça servait de torturer les enfants. "TRIPLE IDIOTS" ! ! ! crièrent les trois autre diables et ils partirent à la recherche des enfants. Hem-Fletcheur s'avança dans la clairière où s'étaient réunis tous les enfants. Il dit "WOUUUARFF" et les enfants partirent en courant sauf une petite fille qui s'appelait Martine et qui tomba dans les pommes. Hem-Fletcheur la prit et la "balança" aux autres. Puis il dit à Hem-Marcus de "foutre une baffe" à Martine pour la réanimer. Hem-Cornélius dit que c'était pas gentil ce qu'ils faisaient. "TRIPLE IDIOTS" dirent une fois de plus les trois autres et Hem-Fletcheur lui mit une bonne raclée. Pendant ce temps, les enfants étaient arrives au village et avaient raconté tout qu'ils avaient vu. Les hommes les plus courageux décidèrent d'aller secourir la pauvre petite Martine. Dans la forêt, les diables avaient fini de la réanimer. Ils commencèrent à lui transformer en pierre le bas des jambes pour qu'elle ne bouge pas. Comme elle criait, ils lui figèrent la bouche. Puis ils transformèrent le bout des bras en plâtre cette fois pour qu'ils soit immobilisés pour l'instant et pour pouvoir ensuite l'enlever et lui arracher les doigts. Elle ne pouvait plus bouger, et ne pouvait plus crier. Elle était bien condamnée. Les hommes, eux, avançait toujours, armés de pics, de pioches et quelques uns avaient même des arcs et ils étaient guidés par un enfant qui s'appelait Pierre et qui faisait partie du groupe qui était avec la petite fille avant sa capture. Ils arrivèrent ainsi dans la clairière où les quatre diables étaient réunis. En voyant les quatre diables, les hommes même fortement armés eurent peur et s'enfuirent en courant. En arrivant au village, ils dirent qu'ils avaient eu peur des diables mais leurs femmes (qui aimaient bien Martine parce qu'elle travaillait beaucoup et bien) grondèrent si fort leurs maris qu'ils se repentirent et décidèrent de rentrer à la clairière. Cette fois, ce fut les diables qui s'enfuirent. Les gens du village qui maintenant étaient tranquilles mais qui prirent quand même la précaution de placer des guetteurs, s'approchèrent de Martine et essayèrent de la délivrer avec des maillets, en tapant dessus et en murmurant des bribes d'incantations. Martine qui voyait encore, regardait la scène avec des yeux terrifiés. Il faisait très chaud et les hommes firent une pause et arrêtèrent de travailler. Ils pensèrent aussi que si on continuait à lui taper dessus et à lui enlever des morceaux de pierre et bien, après, on ne pourrait vraiment plus rien pour elle. Ils commençait à perdre espoir quand tout d'un coup, un jeune homme qui avait continué à travailler, enleva un morceau de plâtre qui était sur les mains de la petite fille et qui d'ailleurs était destiné à être enlevé. Tout de suite, les hommes se remirent au travail et deux minutes plus tard, les hommes avait dégagé les mains. Après cet exploit, il étaient très contents et essayèrent de dégager les pieds avec beaucoup d'entrain. Mais bientôt, il durent se rendre à l'évidence, ils ne pouvaient rien pour la petite fille. L'un d'eux pensa qu'on pouvait ramener la fille au village mais elle était trop lourde et les hommes avaient la flemme de la ramener. Ils étaient revenus à la clairière pour faire plaisir à leurs femmes mais maintenant, c'était l'heure de la sieste et ils avaient tous envie de dormir. Ils décidèrent donc d'abandonner la petite fille. Le garçon qui les avait conduit et qui était le grand frère de la fille n'était pas du tout d'accord mais devait quand même suivre les hommes, il décida donc d'agir plus tard. Les quatre diables n'osèrent revenir dans la clairière qu'à la nuit et Hem-Fletcheur ordonna de continuer la torture. Ils riaient beaucoup et, au village, les gens entendaient le rire des diables et imaginaient la pauvre fille. Pendant ce temps, le grand frère imaginait un plan pour essayer de sauver sa petite sœur. Il pensa à la Sorcière du Trou Baveux mais se rappela quelle était partie en voyage. Il se dit que le Magicien-du-Crachat ferait tout aussi bien l'affaire. Il se rendit donc chez lui. Il habitait sur la montagne du Mollard. à suivre...   Chapitre 2 Le grand frère, qui s'appelait Pierre demanda au magicien si il pouvait sauver sa soeur. Le magicien, bien entendu lui répondit que oui. Il dit à Pierre qu''' il fallait qu'il se coupe les deux oreilles et le nez puis qu'il fallait jeté tout ça au feu. Pierre accepta par amour pour sa petite soeur. Il revint donc chez lui pour imaginait son plan d'attaque. Il était très simple. Il surgirait dans la clairière avec deux basoocas et ferait s'enfuir les quatre diables. Comme lui avait dit le magicien, il se coupa le nez et les deux oreilles et les mit dans un petit sac qu'il mit sur son dos. Il saigna beaucoup et eu très mal. Sans son nez et ses oreilles, il était vraiment moche. Il se dit que si il voulait réussir son plan d'attaque, il fallait partir maintenant et entrer dans la clairière avant l'aube. Il alla chercher les deux arbalettes de son père et se mit en route vers la clairière. Pierre arriva à la clairière et se cacha dans les fourrés qui la bordés. Heureusement pour Pierre et surtout pour sa petite soeur. Les quatre diables n'avait pas encore commencé les vrai supplice, ils ne faisaient que s'amusait et au moment ou Pierre arrivais, Hem-Fletcheur s'apprêter à ordonné la grande exécution, ou, en langage courant,on l' appelle la grande torture!... C'est à se moment-là que Pierre fit irruption dans la clairière avec ses deux arbalette. Il tira, mais, comme il ne c'était jamais servie de ses engins, ne réussie même pas a en blessé un. Mais il réussie quand même à les faires fuir. Il se dépêcha de poser son sac à dos par terre et d'en sortir ses deux oreilles et son nez et de les mettre dans le feu qu'avait allumé les quatre diables pour faire rôtir Martine quand ils en auraient eu fini avec elle. Un grand éclair traversa la clairière et la petite soeur perdit l'apparence de pierre et redevint normal. Sont frère pleura de joie quand sa petite soeur repris sont apparence normal.