Jeudi 15 avril 99 : Mini débat
- La concurrence est-elle un danger pour la sécurité ?
- Comment établir une législation adéquate ?
- Les tests pour identifier les OGM sont-ils fiables ?
- La presse est-elle libre de toute influence économique ?
- Quels sont les risques de transfert de gènes ?
- Le risque pour la santé de l'homme est-il lié à la quantité d'OGM ? Le risque de passage d'un gène dans notre ADN est-il absolument nul ?
- Plus globalement quelle attitude avoir face aux risques technologiques, dans un monde dominé par l'économie ?
Reste aussi :
Jeudi 22: Séance d'organisation , répartition du travail :
- Les analyses sont enfin toutes arrivées. Pas encore toutes en anglais.
- Groupes formés :
- Nina, Amandine, Stéphanie : Grands distributeurs (Migros) interview
- Questions ? Tests, perception du consommateur....
- Jérôme, Luca, Michael : La question de la proportionalité : une quantité infime représente-t-elle un risque infime ?
- Evt aussi législation.
- Le "sponsoring" des médias par les sociétés agroalimentaires nuit-il à la transparence des débats ?
- Jérôme : "Pour cela,j'ai essayé d'appeler Edipresse (-rédaction) dans le but d'avoir un rendez-vous pour poser quelques questions sur le "traitement de l'information en général par les médias". Je dois lui faire parvenir un "petit mot" pour lui expliquer nos questions, aspects traité et sujets dans le courant de la semaine prochaine afin qu'elle (Mme Mermillod) puisse nous aiguiller sur le journaliste qualifié."
- Mélanie, Sébastien, Ronald : l'étiquetage est-il fiable ?
- Méthodes de tests. Fiabilité des tests.
- Aurélie, Sanda : les OGM : comment cela modifie-t-il les rapports avec le tiers-monde ?
- Romain, Bénédict, Antonin : Suite à l'interdiction par le gouvernement pour la mise en champ d'OGM, nous avons décidé de nous intéresser aux raisons d'une telle décision, et des conséquences qu'elle pourrait avoir soit sur l'environnement, soit sur l'économie et sur la recherche. D'une part nous traiterons des problèmes (scientifiquement prouvés) que la culture transgénique aurait pu engendrer. Ensuite nous demanderons leur avis aux principaux intéressés (à savoir l'institut de recherche à Changin, l'économie (Novartis ou Nestlé), éventuellement les autorités fédérales, et enfin les écologistes) afin d'essayer de comprendre quelles seront les conséquences de cette interdiction.