Paramètres avancés
Group 1
Leyla Ahmadova
0 sur 5 accepte(nt) (0%)
Voici les difficultés auxquelles notre groupe a été confronté :
- la formulation des questions de recherche (p.ex. très technique)
- le questionnaire ne répond pas à la question de recherche
- la présentation des questions de manière optimale
Group 2
Lydie Boufflers
5 sur 5 accepte(nt) (100%)
Le 04/02/16,
Dans nos commentaires, nous avons largement dépassé la critique
concernant uniquement les questions. Nous en avons profité pour «
critiquer » l’ensemble du projet : de la question de recherche à la
bibliographie.
Voici les points soulevés par le groupe 2 : Alexandra, Julien, Brice, Sophie et Lydie
QUESTION DE RECHERCHE
* Définition floue ou peu précise de la population
HYPOTHESES
* Formulation des hypothèses incomplètes ou trop orientée vers un résultat précis
CADRE THEORIQUE
* Oubli d’une partie du cadre théorique dans la formulation des hypothèses et dans questions
* Manque de description des dimensions du concept mesuré (ce qui manque pour pouvoir correctement évaluer les questions)
* Manque de précision des contours de l’étude : lorsque des
recherches antérieures sont citées, préciser comment l’étude actuelle
s’intègre dans ce cadre (en quoi apporte-t-elle quelque chose de nouveau
par rapport à l’existant)
QUESTIONNAIRE
Design des questions :
* Question composée de plusieurs sous-questions avec des thèmes différents
* Questions trop longues
* Formulation maladroite des questions (« lourdeurs des questions »
ou « peu claires ») occasionnant des problèmes de compréhension
* Formulation des questions laissant un trop grand biais
d’interprétation par les interviewés (risque de biais dans les
résultats)
* Questions qui exclut l’interviewé : utilisation OUI / NON. Si non, le questionnaire s’arrête.
* Manque d’uniformisation des questions : utilisation de vocabulaire
différent ; tantôt vulgarisé, tantôt plus soutenu. L’important est que
le vocabulaire corresponde à la cible visée
* Surplus de questions mesurant un concept simple (exemple : domaine d’étude)
* Questions hypothétiques : comment l’interviewé « pense » faire au lieu de comment il « fait »
* Questions qui demandent à l’interviewé une réponse à la question de recherche
Correspondance questions / concepts :
* Questions ne répondant pas aux concepts que l’on essaie de mesurer
(c’est-à-dire des questions non utiles dans le cadre de l’étude) ou
alors pas suffisamment justifiées dans le cadre théorique et
l’opérationnalisation
* « Concepts oubliés » dans les questions
Structure du questionnaire :
* Manque de regroupement par thèmes (favorise le travail de l’interviewé)
Items de réponse :
* Choix des items de réponse choisis parfois difficilement évaluable du côté de l’interviewé : « presque toujours »
* Echelle de réponse mal adaptée à la question
* Manque de choix dans les items de réponses (risque d’occasionner des problèmes pour l’analyse des résultats)
* Questionnaire où il est possible de ne pas se positionner : pas de données ! et donc pas d’analyse possible
* Choisir et marquer correctement la temporalité dans les questions
OPERATIONNALISATION
* Manque de justifications de l’opérationnalisation des questions : mesure des concepts (comment ?) et de l’échelle choisie.
* Manque de précisions sur les dimensions mesurées (rendant
difficile l’évaluation des questions par rapport à la question de
recherche).
BIBLIOGRAPHIE
* Sources citées dans le cadre théorique non mentionnée dans la bibliographie
* Bibliographie : pas toujours aux normes APA
Group 3
Stéphanie Perrier
5 sur 5 accepte(nt) (100%)
Afin de retranscrire de manière concise les points à adapter, nous
avons listé par personne les différents commentaires reçus.
Enfin, nous avons ressorti les éléments nécessitant une attention particulière au niveau du groupe.
Sébastien
- Globalement bon questionnaire.
- Orthographe et homogénisation de la ponctuation (corrigé).
- Problème sur la désiraibilité sociale, mais biais supprimé à l’aide des questions croisées.
Monika
- Corriger orthographe
- Étoffer le plan de recherche avec plus de littérature
- Utiliser échelle de Lickert pour les questions
- Enlever la proposition “autre” pour quelques questions
- Reformuler questions pour rendre plus compréhensible + faire une
recherche pour trouver plus de propositions basées sur de la littérature
existante
- Changer le type de question: question à choix multiple pas forcément pertinent
Ludmila
- Éviter questions sur l’âge car l’âge n’a pas besoin d’être mesuré dans les variables
- Rendre les questions plus précises en spécifiant les domaines informatiques
- Traiter les questions comme ensemble de questions, avec une échelle de Lickert
- Problème d’incompréhension du lien entre les variables mesurées et certaines des questions posées
Stéphanie
- Problèmes techniques sur plusieurs questions au niveau des réponses.
- Réponses redondante -> Faire une liste d’item pour les questions mesurant le sentiment de compétence
- Reformuler la question “les vidéos sont facile à utiliser.
Joyce
- Question sur l’âge a retravailler: Mauvaise catégorie,
restreignent le public cible, penser l’utilisation d’un groupe de
contrôle
- Question sur la fréquence: dans cette question, incohérence avec
les présupposition précédentes. Reformulation de certaines questions peu
claires et ajout d’une question sur le type d’étude du participant.
- Question sur l’expérience/ressentiment : catégoriser en questions sur l’expérience et sur l’émotionnel.
Commentaire global au niveau du groupe :
Attention aux problèmes techniques, fautes d’orthographe, questions
qui se contredisent, utilisation d’une meilleur échelle pour la partie
des réponses (evtl. Likert). Certaines questions mériteraient d’être
reformulées ou précisées.
Group 4
Andres Gomez
5 sur 5 accepte(nt) (100%)
Rapport Sondage - Période 3 - Méthodes
04 février 2016
Groupe 4 :
Anne-Sophie Desarzens
Nina Devincent
Andrés Gómez
Régis Le Coultre
Claudia Romero
Dans le cadre du cours de méthologie du master MALTT, nous sommes
amenés à concevoir un sondage destiné à recueillir des données
quantitatives. Cet exercice nous a conduit à échanger nos points de vue
sur l’élaboration et la validité de brefs questionnaires scientifiques
conçus pour notre cours. Les commentaires donnés sur ces questionnaires
par nos collègues (par groupe de 5 personnes) nous ont permis d’obtenir
un point de vue distancé sur les questions que nous avons élaborées et
ainsi mettre en relief les défauts et points forts de notre travail. La
réflexion commune suite à cet exercice nous a permis de dégager de
nombreux points.
Ce rapport présente les difficultés rencontrées, les discussions et
les notions qu’il nous a semblé important à retenir lors de la création
de questions de sondage. Nous pouvons les classer en trois catégories :
les réflexions sur la formulation des questions, sur la formulation des
échelles et sur le design du questionnaire.
Formulation des questions :
Il est important de tester les questions avec différents individus afin de limiter les incompréhensions et/ou incohérences.
Il est préférable d’éviter de poser des questions trop similaires,
même s’il est nécessaire d’avoir plus d’une question par dimension.
Certaines questions sont parfois si proches qu’elles mesurent, en
réalité, exactement la même dimension. Dans ce cas, il est préférable de
tourner la question différemment.
Le choix du vocabulaire doit être méticuleux. Les mots choisis
doivent être clairs et présenter le moins d’ambiguïté possible. Le
registre utilisé doit être accessible aux participants, il ne doit être
ni trop familier, ni trop scientifique, c’est-à-dire compréhensible pour
tous les interviewés qui font partie de notre public cible.
Il est important de s'adresser à la totalité de son public cible.
Parfois, le genre a été oublié lors de la conception de nos questions.
Notamment dans le cas de questionnaires passés à distance, il faut
préférer : “de ne pas me sentir tout(e) seul(e) dans cette formation”,
plutôt que : “de ne pas me sentir tout seul dans cette formation”.
Il faut aussi porter un soin particulier à la formulation de
certaines questions dites “sensibles” ou “délicates”. Il est plus
courtois, par exemple, de demander à un participant son année de
naissance, plutôt que de demander directement son âge. Un participant
froissé pourrait refuser de continuer de répondre au questionnaire.
Formulation des échelles (réponses) :
Nos questionnaires portent souvent sur la fréquence de l’utilisation
d’un outil ou de contact avec des pairs. Cela nous amène à considérer
des échelles plus objectives qui, dans certains cas, permettent
d’obtenir une temporalité neutre, sans le ressenti du participant (ex:
plus d’une fois par mois, plutôt que : fréquemment).
Les études sur le nombre de choix mis à disposition des répondants
sur une échelle ne nous permettent pas d’affirmer qu’un nombre est
préférable à un autre (Chang 1994).
Nous pouvons néanmoins constater que certaines échelles sont à choix
forcés (échelles paires) car elles “forcent” la personne à se prononcer
sur une question (la personne ne pouvant pas exprimer un choix neutre).
Les échelles proposées doivent être cohérentes avec les questions et
les dimensions mesurées. Certaines échelles sont plus appropriées que
d’autres pour mesurer un phénomène.
Design du questionnaire :
Quel est l’impact du design sur le taux de réponse d’un
questionnaire? La présentation des questions sous forme de tableau
peut-elle garantir un taux plus élevé de réponse? L’ordre de
présentation a-t-elle une influence? Si oui, comment bien prévoir
l’influence de l’ordre des questions posées? Plusieurs questions restent
encore ouvertes par rapport au design du questionnaire, questions que
nos échanges ne nous ont pas permis de trancher. Ces discussions ont été
intéressantes, elles nous ont permis de nous rendre compte de la
richesse des diverses possibilités et variables à tenir compte, elles
nous ont ouvert les yeux sur cette problématique. Nous sommes convaincus
qu’il n’y a pas qu’une seule solution, mais que chaque cas mérite une
réflexion, des partages et des décisions qui sont de toute manière des
compromis.
En conclusion, cet exercice nous a permis de nous initier et de
réfléchir aux difficultés inhérentes à la construction de
questionnaires, qui n’est pas, même dans une forme très simplifiée, un
élément de recherche trivial et dépourvu de biais. Il y a pour
quasiment chaque cas de petites adaptations, qui sont discutables et
restent très dépendantes du contexte, de l’opinion du concepteur et
finalement de ses choix. Il existe bien des principes, mais pas de
solution miracle qui s’adapte à toutes les situations. Nous pensons
qu’il est important de bien considérer les choses de manière
macroscopique en englobant la réalisation du formulaire dans le
processus de passation qui va suivre (avec la problématique de la
soumission électronique) et d’interprétation et discussion des données.
La collaboration provoquée par cet exercice nous a fait réaliser à quel
point la phase de pré-test d’un questionnaire de recherche est
indispensable. Un bon questionnaire ne peut se faire sans la
participation d’autres acteurs que le chercheur lors de sa construction
et ce, afin qu’il soit prêt pour son public cible.
Bibliographie
Chang, L. (1994). A psychometric evaluation of 4-point and 6-point
Likert-type scales in relation to reliability and validity. Applied
psychological measurement, 18(3), 205-215.
Group 5
Ludovic Clément
4 sur 5 accepte(nt) (80%)
D'un point de vue générale, nous avons lu les productions de chacun
et nous les avons commentés en fonction des sept critères suivants :
1. Cohérence générale
2. Question de recherche
3. Cadre théorique
4. Questions de sondage
5. Adéquation question de sondage avec question de recherche
6. Utilisa imite des questions de sondage pour le sonde
7. Question utile pour la recherche
Sinon, globalement, nous avons dû ajouter un paragraphe qui met à
plat les termes ambigus au début et qui explique le pourquoi du
questionnaire. De plus, ce qui revient souvent c'est le manque de
définitions explicites des termes (e.g. TIC) ou le fait de devoir faire
attention à ce que les questions testent bien les concepts de la
question. Toutefois, des questions de recherche intéressantes, avec des
efforts pour l'ancrer dans un cadre théorique précis et délimité.
Plus spécifiquement pour chaque discutant, nous avons fait ressortit l'ensemble des points qui ont pu posé problème :
1- Andrea : Globalement des questions sont mal formulées : tournures
inconstantes (négatif et positif) et quelques ambiguïtés de tournure de
phrase. Il faudrait aussi préciser le cadre théorique, notamment le
modèle de Vermunt, sinon les questions reflètent bien
l'opérationnalisation.
2- Fatima : la modalité de réponse d'une question pourrait être
modifiée pour prendre en compte le fait que les enseignants peuvent
avoir reçu leur formation en informatique de différentes manières, de
plus les "applications spécifiques" peuvent être davantage précisées.
3- Kim : de manière générale, il semblait y avoir quelques
compléments d'informations à ajouter : explicitations de certains
concepts, clarification des concepts explorés par chaque question,
reformulation de l'opérationnalisation des concepts et l'ajout de la
définition des outils TICE dans les questions de sondage.
4- Robin : Ce travail nécessiterait un remaniement des tournures de
phrases consistant à les rendre moins subjectives. Un étoffage théorique
serait en outre nécessaire pour soutenir la catégorisation. Les
questions de recherche reflètent enfin bien la direction de la recherche
et sont pour la plupart pertinentes.
5- Ludovic : Malgré une certaine divergence d'opinion sur la
question de recherche et de sa délicatesse (avec Robin), certaines
questions de sondage ont été ajoutées ou modifiées tout en spécifiant
une certaine catégorie d'étudiants à prendre en compte dans cette étude
(désormais les universitaires).
Group 7
Daniel Schneider
0 sur 1 accepte(nt) (0%)