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RESUME DE LA QUESTION DES LIENS ENTRE PSYCHOLOGIE ET ECOLOGIE
Les océans sont le berceau de la vie sur terre.
Ils représentent le 70 % de la surface du globe et de ce fait ont
un rôle majeur dans l’équilibre écologique de la planète.
Notamment, ils recyclent les gaz à effet de serre responsables du
réchauffement climatique et produisent 50 % de l’oxigène.
L’humanité entretient avec la Terre une relation
de même type que l’enfant avec sa mère. Cette relation, loin
d’être limitée au nourrissage, permet la vie grâce à
l’amour, symbolisant la dépendance de l’Homme à son milieu.
Malheureusement, les activités humaines bouleversent
inexorablement son fonctionnement et par là-même sa propre
existence.
Le défi lancé à l’Humanité
pour éviter son autodestruction va l’obliger à concevoir
une approche nouvelle et généralisable de ses activités.
L’écologie doit s’inspirer de modèles connexionnistes
car l’ensemble des organismes vivants sur terre sont en interaction, produisant
un équilibre instable. Le potentiel de structures nouvelles est
tel qu’il est illusoire d’infléchir l’évolution dans le sens
voulu par l’homme. En conséquence, la mesure la plus sage est de
préserver l’équilibre actuel entre ces organismes afin de
maintenir les conditions qui ont permis à l’humanité de se
développer (les changements opérés par l’homme sur
la biosphère). Le rythme des modifications pratiqué par l’homme
sur son environnement est caractéristique des courbes exponentielles.
La question n’est plus de savoir si ce rythme doit être modifié
pour le ralentir mais c’est son inversion qui doit être examinée.
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