chris_memoireTravail

La mémoire de travail est un système qui à la fois fait du stockage et du traitement. Comme sa capacité est limitée, elle ne peut traiter que six ou sept éléments d'information isolés en même temps (l'empan mnésique chez l'adulte - en moyen).

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`2 Definition`

The working memory represents a system that accomplishes two tasks in same time: storing and processing. Since its capacity is limited, it only can deal with six or seven different elements of information in same time (memory span of adults - on an average).

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`2 Definition`

Das Arbeitsgedächtnis ist ein System, das gleichzeitig Speicherungsarbeiten und Weiterverarbeitungen bewältigt. Da seine Kapazität beschränkt ist, kann es nur sechs bis sieben einzelne Informationselemente gleichzeitig bearbeiten (Gedächtnisspanne bei Erwachsenen - im Durchschnitt).

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`3 Explication`

La notion de 'mémoire de travail' remplace la notion tratitionelle de 'mémoire de court terme'.

L'empan mnésique dépend - en outre - de la rapidité de l'encodage de l'information (Huttenlocher et Burke, 1976). Selon Broadbent (1975) l'empan mnésique est encore plus étroite: on ne peut se souvenir que de trois à cinq éléments isolés.

Mais le taux de rétention peut être augmenté en occupant le système de traitement à des activités qui favorisent le maintien de l'information en mémoire (comme la révision mentale). Si des autres activités occupent le système de traitement, le taux de rétention diminue.

Selon Baddelay et Hitch (1974) la mémoire de travail a deux composantes: la boucle articulatoire et le processeur centrale. La boucle articulatoire opère de façon automatique et maintient en mémoire un nombre d'items de l'ordre de trois. Si le processeur central est vraiement libéré et pas occupé à une autre tâche, il peut augmenter la capacité de rétention par la répétition mentale.

L'empan perceptif: le nombre d'éléments susceptibles d'être appréhendés en une seule fixation - sans exploration oculaire.

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`3 Explanation`

(under construction)

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`3 Erklärung`

Der Begriff 'Arbeitsgedächtnis' ersetzt den früheren Begriff 'Kurzzeitgedächtnis'.

Die Gedächtnisspanne hängt - unter anderem - von der Enkodiergeschwindigkeit ab (Huttenlocher und Burke, 1976). Gemäss Broadbent (1975) ist die Gedächtnisspanne noch enger: man kann sich nur an drei bis fünf miteinander nicht verbundene Elemente erinnern.

Aber die Behaltensrate kann gesteigert werden, indem man das Verarbeitungssystem mit Aktivitäten beschäftigt, die den Informationserhalt im Gedächtnis unterstützen (wie das mentale Überarbeiten). Belegen andere Aktivitäten das Verarbeitungssystem, so nimmt die Behaltensrate ab.

Gemäss Baddelay und Hitch (1974) besteht das Arbeitsgedächtnisses aus zwei Bestandteilen: aus der Gliederungsschleife und dem Zentralprozessor. Die Gliederungsschleife funktioniert automatisch und kann im Gedächtnis bis zu drei Items festhalten. Ist der Zentralprozessor wirklich frei und nicht durch eine andere Arbeit belegt, so kann er die Behaltensleistung durch das Wiederholen im Gedächtnis steigern.

Wahrnehmungsspanne: die Anzahl jener Elemente, die in einer einzigen Fixation wahrgenommen werden können - ohne zusätzliche Augenbewegung.

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`4 Exemple`

La compréhension de phrases n'est pas perturbée par une tâche annexe de mémorisation de trois chiffres, mais elle est détériorée s'il faut en même temps mémoriser six chiffres. Si le sujet a la possibilité de répéter la liste depuis son début, son empan mnésique peut comporter sept éléments. Si la répétition n'est pas possible, il se réduit à quatre éléments.

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`4 Example`

(under construction)

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`4 Beispiel`

Das Verstehen von Sätzen wird durch eine zusätzliche Aufgabe, drei Zahlen zu behalten, nicht beeinträchtigt; sollen aber gleichzeitig sechs Zahlen behalten werden, nimmt der Verstehensgrad ab. Hat die Person die Möglichkeit, die Liste von Anfang an zu wiederholen, so kann die Gedächtnisspanne sieben Elemente umfassen. Ist das Wiederholen nicht möglich, so reduziert sie sich auf vier Elemente.

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`5 Utilisation`

La notion de 'mémoire de travail' permet de mieux comprendre comment nous traitons les informations que nous percevons. Elle souligne la représentation que les informations doivent passer plusieurs niveaux de traitement avant d'être comprises. Ce concept sert à expliquer par quelles conditions la compréhension soit soutenue ou empêchée.

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`5 Use`

(under construction)

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`5 Anwendung`

Der Begriff des 'Arbeitsgedächtnisses' erlaubt es, besser zu verstehen, wie wir die wahrgenommenen Informationen weiterverarbeiten. Er unterstreicht die Vorstellung, dass die Informationen verschiedene Verarbeitungsebenen durchlaufen müssen, bevor sie verstanden werden können. Dieses Modell hilft zu erklären, welche Bedingungen das Verstehen unterstützen oder beeinträchtigen.

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`6 Relation à d'autres outils`

Mémoire à court terme

Mémoire à long terme

Mémoire autobiographique

Mémoire iconique (Sperling, 1960; Averbach et Coriell, 1961)

Mémoire opérationelle: Une mémoire transitoire par rapport à la mémoire à long terme, moins fugace que la mémoire à court terme. (Bisseret, 1970; Spérandio, 1975, 1988)

Mémoire sémantique

Mémoire sensorielle: Avant d'être identifiée et encodée, l'information est stockée provisoirement là. Le résultat de cette opération est transféré en mémoire de travail.

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`6 Relation`

(under construction)

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`6 Beziehung zu anderen Begriffen`

Kurzzeitgedächtnis

Langzeitgedächtnis

Autobiographisches Gedächtnis

Bildgedächtnis (Sperling, 1960; Averbach und Coriell, 1961)

Operationelles Gedächtnis: Bildet den Übergang zum Langzeitgedächtnis, weniger flüchtig als das Kurzzeitgedächtnis. (Bisseret, 1970; Spérandio, 1975, 1988)

Semantisches Gedächtnis

Wahrnehmungsgedächtnis: Bevor Informationen identifiziert und enkodiert werden, werden sie hier vorübergehend festgehalten. Das Ergebnis dieses Verarbeitungsschrittes wird an das Arbeitsgedächtnis weitergeleitet.

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`7 Références`

Averbach et Coriell (1961).

Baddelay, A.D (1993). La mémoire humaine: théorie et pratique. Grenoble: Presse Universitaire de Grenoble 1993.

Bisseret, A. (1970). Mémoire opérationelle et structure de travail. Bulletin de Psychologie, XXIV, 280-294.

Richard, Jean-François (1990). Les activités mentales. Comprendre, raisonner, trouver des solutions. Paris: Armand Colin 1990. ISBN 2-200-31257-1.

Richele, M.; Requin, J.; Robert, M. (1994). Traité de psychologie expérimentale. Paris: Presses Universitaires de France 1994.

Spérandio, J.C. (1975 ou 1972?). Charge de travail et variation des modes opératoires. Thèse de Doctorat en Psychologie, Université de Paris V.

Spérandio, J.C. (1988). L'érgonomie du travail mental. Paris: Masson 1988. 2e éd.

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`7 References`

Baddelay, A.D.; Hitch, G. (1974). Working memory. In: Bower, G.H. (Ed.) The psychology of learning and motivation. Vol. 8. New York: Academic Press 1974.

Broadbent, D.E. (1975). The magic number seven after fifteen years. In: Kennedy, A.; Wilkes, A. (Eds.) Studies in long term memory. New York: Wiley 1975.

Huttenlocher, J. et Burke, D. (1976) Why does memory span increase with age. Cognitive Psychology, 8, 1-31.

Sperling, G. (1960). The information available in brief visual presentations. Psychological Monographs, #498.

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`7 Bibliografie`

(in Arbeit)

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`8 Remarques`

La réfléxion des règles du jeux de la mémoire de travail permet de mieux organiser le scénario d'un didacticiel. Si l'utilisateur du logiciel est guidé d'une manière favorable à la rétention mentale, sa compréhension et son taux d'apprentissage peuvent être soutenus.

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