Staf2x - ex 3
 

Un premier pas dans l’univers complexe des bases de données. Pour développer ce protocole permettant d’archiver ses signets, je me suis basé sur les exercices tecfa et sur le développement conjoint de Fred et Elia, qui s’étaient déjà attaqués au concept. Cet exercice s’est avéré passionnant, spécialement pour son aspect architectural. Si, avant de l’entreprendre la principale difficulté liée à la gestion de bases de données me semblait être d’ordre technique, il appert actuellement qu’elle se situe plutôt dans le monde conceptuel – je ne veux pas dire ici que l’aspect technique me parait facile et maîtrisé, c’est loin d’être le cas (et l’aide indirecte de Fred et Elia m’a passablement facilité la tâche), mais que sans une bonne réflexion de base aucun support technique ne parviendra à.imposer son efficience.

Quelles sont les données qui nous intéressent ? Comment les approcher et à l’aide de quels indicateurs ? Comment intégrer dans notre concept de base une possible adaptation à de nouvelles contraintes de recherches ? Autant de questions dont va dépendre la pertinence du système développé.
Un second projet est né en cours de réalisation du premier : créer une base de donnée échéancier, servant à superviser l’avancement de différents projets, en un seul point de la toile. Les développeurs devraient ainsi déposer régulièrement des informations sur l’avancement de leurs travaux. La réflexion sur ce projet s’est avérée suffisamment ardue pour rendre son achèvement aléatoire. Comment en effet marquer au mieux le degré d’avancement d’un projet, quel signifiant employé (couleur ? date ?). Plus que cela, est-il possible de savoir à quel niveau d’achèvement l’on se trouve avant d’avoir proprement terminé sa tâche, quand on parle de développement (tecfa m’aura appris la plus grande prudence à ce niveau, ce que l’on pense faire en deux minutes prend souvent des heures mais quand on réserve un week-end pour résoudre un problème il arrive qu’on le passe à la plage, bien que cela reste rare, hélas.) ?

Reste, à titre de conclusion, que la maîtrise relative de cette nouvelle technologie nous ouvre des portes insoupçonnées tant le monde de l’envisageable s’est soudain étendu. Nous pouvons actuellement rêver de site dont touts les pages seraient indexées et qui proposeraient une version propre à chaque utilisateur, ou un système de gestion on line de ressources complexes, bref c’est un grand saut qualitatif dans les perspectives de développement de portails et autres interfaces user friendly. La porte est ouverte mais nous restons, pour l’instant, sur le seuil, puisse le dieu des ordinateurs nous autoriser à progresser sur cette voie .