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RESUME DE L'ARTICLE :L'image une vue de l'esprit
par Bernard Darras



2)Présentation:
Dans cette article, Le prof. Darras, partait d'une expérience réalisé avec des élèves et leur enseignants en leur deamnadant , pour faire découvrir aux derniers qu'ils partagaient avec leurs élèves un même système de signes qui peut être sans gêne exploiter pour promouvoir les échanges icôniques dans peur pratique pédagogique.
L'expérience fait sortir aussi le niveau de compétence représentationnelle de la majorité des adultes à celles des enfants qui est en majorité de cas proche à celles des enfants, ce qui témoigne l'immobilisme et de la stagnation des adultes profane, malgré les mouvements sans prende part des courants inventifs et individuants de la socièté comptemporaine.

2)Pensée visuelle et pensée figurative:
Dans une nouvelle approche sémio-cognitive, l'auteur tente d'approfondir le débat concernant l'engagement dans le processus de production d'images de la pensée visuelle d'une part, et de la pensée figurative d'autre part. a)Pensée visuelle: fait référence à l'expérience optique ou le visuel détermine le mode d'accé à l'information ognitif.
b) Pensée figurative: travaille un matériel dérivé de la perception visuelle, mais ce matériel est entièrement reconstruit par l'économie ognetive:

3) Modélisation sémio-cognitive:
Similis et schéma ont des processus de production bien distinctes. chacun peut envoyer à des représentation socioculturelle différentes, le monde des images réaliste d'un part et le monde des schéma d'autre part. Les similis gardent la similarité avec l'expérience optique directe.
Les schéma ne sont pas une simplification des similis mais des images dont l'origine comme la destination sont différentes de celles des similis. Un foctionnement des similis évoque la notion des catégories naturelles. Ils sont utilisés pour modéliser le fonctionnement de la pensée figurative et des différentes familles de schémas qui en dérivent.
Le resumé cignitive est principalement constitué des propriétés figuratives, qui servent de composantes au programme de fabrication des schémas. L'idée de niveau de base repose sur une abstraction ou les élements ont un commun un nombre important de propriétés. Les images graphiques issues sont simples et fréquement utilisées.
La schématisation et la production des schémas se déroulent au niveau cognitif lors de différents processus d'abstraction. Elles sont considérées comme le fruit de l'arrangement des propriétés figuratives mémorisées dans le niveau d'abstraction sollicité, qui est le niveau de base. Le label iconotype se réfère aux schémas répliqués par opposition aux schémas occassionels.Il est relativement flexible et adaptable. Les processus de répétition enclenchent la mémoire procédurale qui contribue à stabiliser et automatiser la production des iconotypes.
Les pictogrammes, d'après leur généalogie,ont une filiation avec les icônotypes d'origine, il s'agit des schémas qui ont été validé par une communauté d'usagers.
4) Les registres et domaines, approche sémio-systémique
En situant les signes abordés dans cette étude dans des regitres cognetifs, sémiotiqes et communicationnels, on a pu lever de nombreuses confusions. Ainsi, nous pouvons noté que, les iconotypes et schémas du niveau de base sont construits pour répondre aux exigences de la communication plurimédia ordinaire, Par contre les similis sont produits moins rapidement, mais qui sont beaucoup plus facilement médiatisables. Les différentes systèmes de signes étudiés secrètent quatre grands modes d'organisation, à savoir:
- mode linéaire : de type additif ex dessins des enfants
- mode réticulaire: multidirectionnel
- mode topologique : relations locales
- modescéniques et synoptiques: configurations compatibles avec l'expérience visuelle.