Résumé  de " l'image, une vue  de 
  l'esprit"  de  B. DARRAS

 
   A partir de certaines consignes données pour realiser un dessin , deux groupes d'individus -des éleves et des adultes- soummettent leurs dessins à un jury. Les resultats obtenus ont montrés que la majorité  ont  éffectuer un dessin classé dans la catégorie enfant (les dessin d'adultes ressemblent beaucoup à ceux des enfants et partagent le même air de famille)
Au début l'objectif de cette expérience est de faire découvrir aux enseignements qu'ils partageaient avec leurs élèves  un même système de signes qui peut être exploiter dans la pratique pédagogique.Les  adultes gardent en mémoire certains dessins qu'ils les ont utilisés pendant leur enfance et qui les utiliseront pendant toute leur vie. Ce phénome est universel mais il voile une autre realité importante que l'auteur la qualifie par plusieur termes telque la faible d'imagination, peu de créativité...et d'innovation  de la part des adultes.
Les adultes ne progressent pas dans le domaine artistique et restent stagné dans un immobilisme insensible au vaste mouvements inventifs de la société comtemporaine.
l'auteur considère la stéréotypie comme un processus cognitif normal et non comme une conduite sociale ou artistique appauvrissante cela permet quand même de faciliter l'identification  des besoins.
Pensé visuelle et pensé vigurative:
La pensée visuelle est comme son nom l'indique, un ensemble cognitif, sémiotique et pragmatique complexe dont le domaine de référence est ce lui de l'expression optique.(par l'expérience visuelleon assiste à l'accés à l'information, son traitement et son fonctionnement cognitif.)
La pensée figurative travaille avec un matériel dérivé de la perception visuelle qui entièrement reconstruit par l'economie congnitive.
De ces deux pensées il en resulte  dans le monde graphique des signes differents  qui sont les similus, les schémas, les iconotypes  et les pictogrammes de la pensée figurative, ainsi que des registres communicationnels différents. 
les similus, les schémas constituent deux familles de signes iconiques de farication différentes car ils font appel a des processus semiotiques et cognitifs différents et en plus à des exigences socioculturelles distinctes.

LA MODELISATION SEMIO-COGNITIVE: 
 Les sources d'informations: 
    Les similis:c'est lorsqu'on veut représenter par le sujet même sa reproduction et donc,dans ce cas là  il sera etroitement lié aux contrainte culturel. La production du similis activent bien propablement l'ensemble des sources cognitives,perceptives et et culturelles surtout. les similis  sont des signes qui appartiennent au repertoire optique et au type  d'activité cognitive qui rélève de la pensée visuelle.(compexe percpectif et cognitif) 
     Les catégories et la catégorisation naturelle.: la catégorie est une entité cognitive mémorisée  elle est dite naturelle si son mode d'organisation est déterminé par la typicalité et hiérarchisé en niveaux d'abstraction dominés  par le niveau de base.
     Le niveau de base: C'est le nuiveau d'abstraction dont les éléments ont encore en commun un nombre important de propriétés (images simples) 
     les caractéristiques figuratives: Darras distingue quatre sources d'informations différentes qui interviennent dans le processus de fabrication des simulis et des schémas: archétypes, stéréotypes, images mentales et perceptions et qui sontentièrement dépendantes entre elles.
l'imagerie mentale joue un role de pont entre la percéption et la mémoire. 
Les traits figuratifs renvoient à des proprétés générales au niveau de base alors qu'au niveau de subordonné renvoient à des propriétés spécifiques.
La schématisation et production de schémas
la schématisation est plus  qu'une simplification ou une sélection des propriétés distinctives, elle est une neutralisation de ces propriétés. on distingue 3 familles de schémas caractérisées par leurs orgine cognitive
   -Les schémas issus du niveau super-ordonné sont constitués de propriétés tres générales  ce qui donnent des diagrammes structuraux desentités représentées.
   -Les schémas issus du niveau subordonné sont constitués de propriétés très figuratives mémorisées, plus spéialisés mais neutralisés.
   -Les schemas issus  du niveau de base (iconotypes) sont plus  distinctifs et consensuels 
Les schémas répétés, la construcion de l'iconotype.
La construction du pictogramme.
se sont des schémas (niveau de base) qui ont été validés par une communauté d'usagers ce qui leur a permis de se stabiliser durablement et parfois même de connaitre une évolution vers un système d'écriture. Tout iconotype est un pictogramme en puissance., l'etide genéalogique de pictogrammes permet de reconstituer les filiations entre les iconotyped'origine et le formes socialisées.

 Darras présente les differents mode de signes
les signes selon leur:

  •  relation avec l'environnement (autonomie, interactivité), 
  •  finalité (stéréotypie, prototypie ou unicité); 
  •  organisation spatiale (réticulaire, linéaire, scénique) 
  •  zone de diffusion (locale, générale, universelle); 
  •  organisation temporelle (dynamique, séquentielle ou synchronique) 
  •  temps de production, délai de diffusion et durée de conservation rapidement produit immédiatement difusés
CONCLUSION
Selon darras l'arrivée la technologie ( l'informatique la communication ,le multimédia) a democratisé l'image qui était monopolisé par quelques experts.
Darras précise que les signes constitués (schéma, dessin,peinture, photo...)bien qu'ils possédent tous une composante iconique, ne sont pas de même origine cognitive ni de même nature
sémiotique. Leurs finalités et fonctions constituent cependant des systèmes relativement autonomes qu'il importe de distinguer et comprendre pour éviter les confusions qui nuisent à leur exploitation
( au différents niveaux d'apprentissage , interprétation....)