Jeu d'îcones / Présentation
par Alessandro Anzani - Staf 13

 

.

AGRANDIR


COUPER


EFFACER



INDIQUER LA LIGNE



OUVRIR UN DOSSIER


TRANSFORMER UN OBJET


BONHEUR
.

TRISTESSE


PENSER

.

ALLIGNER AU CENTRE



ALLIGNER A GAUCHE


ALLIGNER A DROITE

 

Considérations liminaires
Le jeu d'îcones présentées dans le tableau ci-dessus on été créées avec Michelangelo '98, le seul outil permettant de travailler sur une interface capable, à l'origine, de travailler pixel par pixel. Significatif et voulu, donc, le résultat final des îcones qui laisse transparaître les carrés typiques qui caractérisent le pixel. Quant aux choix pour le jeu d'îcones lui-même, j'ai opté pour des réalisations le plus possible monosémiques, permettant ainsi de remplir pleinement leur fonction de marquage (une îcone ne doit surtout pas être mal interprétée) d'une part et, dans le cadre de l'exercice de l'îconomètre, permettre à l'utilisateur de ne pas trop hésiter quant à l'individuation de l'îcone d'autre part.

Le test
Lors de la création du jeu d'îcones proposées ci-dessus on essaie toujours de produire quelque chose qui soit le plus possible intuitif et facilement individuable. Pendant le travail on en est convaincus, c'est vrai, d'autant plus que les îcones créées ont vraiment l'air, en tout cas pour son créateur, de quelque chose de très monosémique et par conséquent de facile interprétation. En revanche, lorsqu'on on regarde de plus près le résultat fournit par l'îconomètre, c'est-à-dire les analyses fournies par les collègues de Staf 13, on se rend compte rapidement que les problèmes commencent. L'îcone qui se voulait, d'un point de vue sémique, très facile à juger est devenue la plus difficile, et pour laquelle j'ai pu constater une plus grande titubance devant sa catégorisation (cf. tableaux ci-dessous).

OUVRIR UN DOSSIER
AGRANDIR
EFFACER


Si l'on jette un coup d'oeil attentif aux 3 tableau on remarquera sans doute que la personne qui a analysé mon jeu d'îcones a émis un verdict assez clair seulement pour la première et la dernière îcone (2 catégorisations, ce qui laisse transparaître un degrée monosémique de l'image assez intéressant) alors que l'îcone du milieu - dans l'apparence la plus facile à déceler - à posé quelques problèmes supplémentaires. De plus, parmi les 3 îcones présentées seulement la première a fait l'objet d'une caractérisation assez facile, avec un degré de fréquence de 40 et 60% ce qui veut effectivement dire que celui qui analyse est en fait assez certain de son évaluation. Les réponses données par les utilisateurs de l'îconomètre sont très souvent des synonymes, ce qui fait croire que si le dispositif de l'îconomètre permettait, dans son traitement des données, d'admettre les synonymes, le résultat de mon îconomètre serait certainement plus fiable et représentatif.