L'idée était de trouver des icônes de marquage pour les articles scientifiques. En effet, les articles scientifiques ont toujours la même organisation au niveau du contenu (une intro. définition du cadre théorique de la recherche, ensuite la problématique et les hypothèses des auteurs, les résultats obtenus suite à leur expérience et leurs conclusions). L'idée est donc d'accentuer cette organisation des informations avec des icônes de marquage symbolisant ces différentes parties, mais aussi d'utiliser des icônes facilement "compréhensible", dont le codage est soit familier, soit facilement identifiable par la population cible. Ces icônes ont deux objectifs :

• elles facilitent par leur indice visuel en haut à gauche de la page-écran, le repérage de la partie de l'article que le lecteur a sous les yeux,
• elles permettent une navigation plus aisée entre ces parties (si le lecteur désire voir uniquement la problématique et les résultats obtenus, ils sélectionnent directement les deux icônes correspondantes, et il n'a plus à rechercher les parties l'intéréssant via un survol de lecture).

Les icônes sont affichées ici dans leur taille pour la barre de navigation (64*64 pixels). Mais les icônes de marquage s'affichent aussi en gros en haut de l'écran à gauche, elles ont alors pour fonction de marquer ce qui est à l'écran.

	Donne les informations générales sur les auteurs, qualité, leurs coordonnées, le titre de l'article ou autres infos diverses se rapportant à la recherche (le labo, le contrat éventuel...). J'utilise le "i" en référence à son utilisation au niveau des symboles grand public pour tout ce qui concerne service de renseignements ou d'informations (ex : les offices de tourisme en France). Ainsi, je suppose qu'avec cette symbolique trés connu dans le grand public, les utilisateurs vont comprendre d'emblée que cette icône renvoie à des informations (ici renseignements sur l'article et son/ses auteur(s)).		Cette icône permet de se déplacer dans le texte de page-écran en page-écran, en avançant (aller à la page suivante ; p+1).
	C'est la partie théorique. Généralement, on se référe ici à des articles déjà parus, on situe la recherche dans son contexte théorique. Cette icône symbolise des feuilles ou des papiers, en référence aux feuilles des articles théoriques (notion de papers en anglais). Lorsque l'on parle de cadre théorique, on active généralement la notion de théories, d'expériences (dans notre contexte d'articles scientifiques) mais aussi la représentation imagée de piles d'articles, de feuilles. C'est à partir de ces postulats de représentation, que j'ai repris l'analogie de feuilles les unes sur les autres pour créer cette icône.		Cette icône permet aussi de se déplacer dans le texte de page-écran en page-écran mais en arrière (le retour à la page précédente ; p-1)
	Désigne la problématique de la recherche, les hypothèses et questionnement du chercheur. L'analogie est ici assez simple et souvent utilisée, puisque ce symbole sert ausi de marquage dans le langage et désigne le mode interrogatoire. La problématique renvoie aux questions du chercheur, ainsi le point d'interrogation s'impose naturellement (De plus, régulièrement utilisé pour symboliser l'état d'interrogation d'une personne en bande dessiné par exemple).		Cette icône permet de se déplacer dans le texte de partie à partie, ou de sous-partie à sous-partie. On se déplace dans l'organisation, la hiérarchie du texte (Aller à la partie précédente, partie ou sous-partie - 1).
	C'est une icône non essentielle. Elle permet de marquer les remarques éventuelles ou autres informations pertinentes que l'auteur voudrait donner mais qui ne s'insérent dans aucunes des parties citées ci-dessus. Le point d'exclamation est souvent utilisé pour souligner une partie sur laquelle il faut porter son attention. De plus, le point d'exclamation va de pair avec le point d'interrogation (renvoie au même style de référence, au même type de codage (ponctuation du langage, renvoyant à des situations particulières de communication).		Cette icône permet de se déplacer dans le texte de partie à partie, ou de sous-partie à sous-partie. On se déplace dans l'organisation, la hiérarchie du texte (Aller à la partie suivante, partie ou sous-partie + 1).
	Ce sont les résultats. Ce signe est celui utilisé dans le symboles mathématiques pour désigner le résultat de quelque chose. Etant donné que ces icônes sont utilisées dans un contexte scientifique, les utilisateurs vont rapidement encoder cette dernière avec la notion de résultat.		Cette icône permet d'imprimer l'article au lecteur. Petit détail : plutôt que d'imprimer la version on-line de l'article, elle télécharge une version papier de l'article (.pdf, .rtf, postscript, etc), plus adapatée pour une impression papier que la version web. J'ai repris l'icône d'imprimante avec laquelle les utilisateurs sont familiers puisque cette dernière est régulièrement utilisée pour la fonction d'impression dans la majorité des logiciels.
	Désigne l'interprétation des résultats. La créationde cette icône se base sur deux principes : d'une part reprendre l'icône des résultats, car la partie désignée est en rapport avec les résultats de la recherche, mais, là encore, elle s'inspire de la pratique des mathématiques ou des symboles de l'écriture manuscrite. En effet, ce symbole est souvent utilisé pour renvoyer à la notion de "équivaut à", ou dans la prise de notes, par ex., pour désigner un lien entre deux choses dont le bout de la flèche est le commentaire, l'explication de ce qui se trouve à l'autre extrèmité.
	Dèsigne la bibliographie auquel se référe l'auteur. L'analogie des livres accompagne souvent la notion de bibliographie. C'est donc par convention que j'ai repris ce symbole pour cette icône.

Voir un exemple (bientôt !)

CV - Page travaux - TECFA - Consignes & Cours de cet exercice -