INTRODUCTION
I
CADRE DE RECHERCHE
1) Problématique
2)
Hypothèses
3) Conceptualisation
II
UN PEU D'HISTOIRE
1)
Naissance d'Internet
2) Le projet de mise en réseau dans l'éducation
3) Le réseau de Haute Savoie
3.1
historique
3.2 objectifs
III
LES ECOLES
1)
présentation
1.1 les différents sites
1.2
activités et correspondance
1.3
les listes de diffusion
2)
Les enseignants
2.1 les formations
2.2
entretiens avec les enseignants
2.3
entretien avec le gestionnaire du réseau
3) Le réseau : intégration difficile
3.1 D'autres priorités
3.2 le courrier électronique
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
En novembre 1994, le gouvernement
français lançait un appel à propositions pour développer
les services et les usages des autoroutes de l'information. Cette action
est suivie en mars 1997 par le projet de développement des réseaux
informatiques dans les établissements scolaires. Le réseau
scolaire de Haute Savoie est né dans le cadre de ce projet. Notre
étude porte sur les moyens de communication générés
par ce réseau.
Sachant que les nouvelles technologies de l'information et de la communication
offrent de nombreuses possibilités comme les conversations simultanées
ou le travail collaboratif, il serait intéressant de voir ce qu'il
en est pour les écoles de Haute Savoie.
Un premier chapitre présentera notre cadre de recherche, puis
un historique sur la naissance de ce réseau fera l'objet d'un deuxième
chapitre. Enfin, avant de conclure un troisième chapitre nous permettra
de voir ce qu'il en est réellement au sein des classes même,
nous analyserons l'intégation d'Internet et les outils de communication
au sein des classes.
Certaines écoles de
Haute Savoie ont entrepris depuis peu d'années de se mettre en relation
à partir des réseaux de communication informatique. Il serait
intéressant de se pencher sur la nature de ces relations.
Si la notion même d'Internet renvoie à toute une infrastructure
communicationnelle, on peut se demander si vraiment les activités
pédagogiques construites autour d'Internet génèrent
un réel cadre communicationnel au sein des écoles.
Partant de cette problématique, on peut formuler les hypothèses suivantes :
Il est nécessaire de définir les termes clés de cette recherche, on commencera par la définition d'un terme couramment utilisé :
Les informations suivantes
sont tirées du chapitre 1 de l'ouvrage "Learning Networks" qui retrace
bien l'historique d'Internet : dans les années 1960, à
l’époque où le monde était encore divisé en
deux blocs, les militaires américains ont réfléchi
à la mise en place d’un système de communication qui puisse
résister à une attaque nucléaire : il fallait que
les ordinateurs travaillant pour la Défense puissent correspondre
quoiqu’il arrive.
Pour cela, il ne fallait pas que le réseau repose sur serveur
central ou qu’il soit architecturé en réseau poste à
poste, mais que chaque terminal puisse communiquer avec n’importe quel
terminal et qu’il n’y ait pas de hiérarchie entre les différents
postes. Les militaires imaginèrent donc ARPANET, un réseau
maillé, c’est à dire aux connexions multiples reposant sur
un principe de transfert de données, on vit donc apparaître
la première forme du courrier électronique. L’idée
essentielle était que si une ligne directe, par exemple New York
/ San Francisco, venait à être coupée, l’information
trouverait toujours un moyen de circuler en empruntant des chemins de traverse
tels Chicago, Seattle...
Puis le réseau fut passé aux mains des chercheurs et
des universitaires américains qui en comprirent très vite
l’importance. Durant les années 1970, le protocole TCP/IP est devenu
le protocole de communication standard du réseau. Le nombre d’utilisateurs,
provenant principalement du gouvernement et du milieu universitaire, n’a
pas cessé d’augmenter. Puis, enfin, il arriva dans le domaine public.
Bien que créé par des militaires, Internet n’a pas de
commandement. Il n’appartient à personne, si ce n’est quelques associations
qui, à défaut de contrôler et gérer le système
se contentent de le réguler.
Les deux décennies suivantes furent consacrées à
l’évolution technique des protocoles de transmission à l’amélioration
de leur vitesse. Ainsi, au milieu des années 1980, les différents
réseaux de recherche américains ont été reliés
entre eux par des liens à haute vitesse (avec le protocole TCP/IP)
pour former le réseau NSFN (National Science Foundation Network)
et remplacer le réseau ARPANET.
Mais c’est au début des années 1990 que le réseau
pris toute son ampleur grâce à l’invention de world wide web
(WWW, littéralement «toile d’araignée mondiale «).
Grâce à ce système, il est facile de manipuler des
données telles que des sons, des images ou des vidéos.
Lorsque l’Internet a fait son apparition au début des années
1980, il y avait seulement 213 serveurs (ordinateurs qui fournissent des
services en réseau) enregistrés. En février 1986,
il y en avait 2 308. Aujourd’hui, grâce à une croissance absolument
phénoménale, l’Internet comprend plusieurs millions de postes
répartis sur toute la planète.
En France, le ministère de l’éducation national a entrepris
plusieurs démarches pour introduire ces nouvelles technologies au
sein des écoles.
2)
Le projet de mise en réseau dans l’éducation
En novembre 1994, le Premier
Ministre lance un appel à propositions pour développer les
services et les usages des autoroutes de l'information. Ce projet vise
selon Alain Gérard (sénateur) à "favoriser le
travail coopératif, la communication entre les classes, l'accès
aux ressources multimédias réparties sur les grands réseaux
de communication ainsi que le développement de téléservices
tels que l'assistance technique et pédagogique, la téléformation
ou le télé-enseignement" ("Réseaux et multimédia
dans l'éducation").
Ce projet de mise en réseau à travers RENATER (Réseau
National de Télécommunication pour la Technologie, l'Enseignement
et la Recherche) est piloté par le ministère de l'industrie,
de la poste et des télécommunications. Chaque Académie
dispose d'une ou plusieurs liaisons permanentes sur le réseau RENATER
qui sont accessibles par les établissements via le réseau
téléphonique, le réseau numéris ou les réseaux
câblés.
Il faut noter qu'au départ, et c'est encore actuellement le
cas dans certaines régions, la mise en place d'un réseau
pédagogique se heurtait fortement aux coûts élevés
des communications, ce facteur n'est pas à négliger car l'égalité
d'accès des écoles aux infrastructures de télécommunication
varie selon les régions.
Quant est-il plus précisément en Haute Savoie ?
Depuis 1995, un projet de
raccordement à l'Internet à été lancé
dans le cadre d'un partenariat Education National, Conseil Général
de Haute Savoie pour offrir un accès Internet à tous les
établissements scolaires (écoles, collèges, lycées)
de Haute Savoie.
Pascal BOYRIES et Jean Claude ROSSIGNOL dans la revue "Enseignement
Public et Informatique : EPI" (n°88, décembre 1997) expliquent
que ce projet est en fait né à partir de la conjonction de
quatre facteurs :
Il s'agit dans un premier
temps d'expérimenter des situations d'apprentissage utilisant les
possibilités du réseau Internet au service du développement
des compétences des élèves. Dans un second temps,
identifier pour les enseignants les apports pédagogiques et les
enjeux de ces nouveaux outils et enfin participer avec d'autres écoles
à des travaux et les diffuser.
Qu'en est-il concrètement ? c'est ce que nous allons voir dans
le chapitre suivant.
III LES ECOLES DE HAUTE SAVOIE
Le réseau regroupe 144 écoles élémentaires (maternelles et primaires), mais seulement 23 ont un site web. Je me suis particulièrement intéressée à ces dernières.Le bilan quantitatif suivant réalisé par Jean Claude ROSSIGNOL (gestionnaire du réseau) nous offre un aperçu :
Fin juin 1999, sur les 768 écoles, collèges et lycées
public ou privés sous contrat que compte la Haute-Savoie, plus d’un
tiers sont connectés à Internet dans le cadre du projet EdRes74.
Ce qui représente, pour l’enseignement public :
- 32,5 % des écoles élémentaires
- 95,5 % des collèges
- 100 % des lycées
Par ailleurs,
- 24 organismes dépendant de l’Éducation Nationale (Inspections,
CDDP, IUFM, CIO, GRETA…) sont intégrés au réseau EdRes74.
- 80 écoles ou établissements disposent d’un réseau
informatique connecté à Internet par le CRI d’Archamps :
7 écoles, 43 collèges, 25 lycées, 5 organismes
- 9 établissements ont mis en place un serveur de communication
dans une première phase de test. A la rentrée 99, 18 autres
seront installés, précédant la phase de généralisation.
Adresses électroniques
Plus de 1100 adresses électroniques ont été crées
sur le serveur du CRI d’Archamps dont environ 600 pour des enseignants
(dont 72 uniquement pour le lycée d’Argonay ! ).
A l’heure actuelle, on peut estimer à 800 le nombre de comptes
créés, dans les établissements, sur les serveurs de
communication, dont environ 400 pour des élèves.
Site web
Un serveur web, hébergeant les sites des écoles, établissements
et projets, a été mis en place dès 1996.
A ce jour, il représente 64 sites (23 sites d’écoles,
17 sites de collèges, 15 sites de lycées), soit plus de 400
Mo de données et 6000 pages html.
Il a enregistré une moyenne de 120 000 requêtes par mois
depuis un an (avec une pointe de 240 000 requêtes au mois de mars
1999 dont 30 672 le lundi 29 mars 1999 ! ).
Bravo aux écoles d’Anthy, talonnées de près par
le lycée Baudelaire…
Listes de diffusion
Une quinzaine de listes de diffusion ont été mises en
place, soit fonctionnelles, soit pédagogiques..
La plupart des sites ont été réalisés par les enseignants eux-mêmes, certaines exceptions pour certains où la participation des élèves n'est pas à négliger, notamment pour ce qui est de l'écriture des textes, du scannage des dessins ou photos (la programmation restant du ressort du professeur). On peut classer ces sites selon deux catégories :
Voici le classement de ces sites selon ces deux catégories
:
|
|
Bernex Chevenoz Cruseilles Essert Romand Gaillard Chatelet Gruffy Megève Rumilly Saint Julien en Genevois Sallanches Blancheville Seynod La Jonchère Thônon Le Châtelard Villaz |
Anthy sur Léman Chatel Domancy Houche Metz-Tessy La Roche Plain Chat Saint Sigismond Thiez La Crête |
A l'origine tous les sites
ont un objectif communicationel puisqu'ils fournissent tous en fin de page
leur adresse e-mail. Mais j'ai distingué ces deux catégories
car à partir du moment où des organismes publics s'investissent
dans la construction d'un site au sein d'un réseau bien spécifique,
c'est en vue d'une interaction ou d'un travail collaboratif pas forcément
permanent, mais au moins occasionnelle.
Il se trouve comme nous le montre la classification de ce tableau que
ce n'est pas tout à fait le cas. Ce classement traduit en effet
une certaine difficulté d'intégrer Internet dans les
activités scolaire (ou en tant qu'activité scolaire), cela
confirme entre autre notre première hypothèse émise
dans le chapitre 1 de notre projet c'est-à-dire que les diverses
écoles se limitent souvent à une simple diffusion d'informations
: le web est souvent utilisé dans l'objectif de présenter
les travaux réalisés collectivement en classe et moins d'interagir
pour travailler avec d'autres écoles.
L'intérêt principal d'un site est de favoriser le contact
avec les visiteurs (écoles ou particulier). J'ai retenu quatre sites
qui à mon avis vont dans ce sens. Regardons de plus près
ce qu'elles nous proposent.
1.2
Activités et correspondances
Les activités qui peuvent être présentées
améliorent à mon sens la qualité de l'éducation
; en effet, comme l'explique Rachel COHEN, dans son ouvrage "La communication
télématique internationale" (p.145) : "les élèves
sont mis en situation réelle de communication, traitent des problèmes
vrais et développent ainsi des capacités d'échange
et de coopération dans des contextes interdisciplinaires".
Outre les activités entreprises personnellement par les classes,
ces dernières peuvent avoir accès à des listes de
diffusion crées dans le cadre du réseau scolaire de Haute
Savoie.
Ces trois listes de diffusion concernent les écoles et les
collèges de la région et d'ailleurs, on a pu observer que
la majorité des écoles participantes au sein du réseau
étaient celles qui possédaient leurs sites web. Selon Pascal
MILLEREY, c'est "un système particulièrement prometteur car
il permet de mettre en œuvre une réelle situation d'apprentissage
sur l'Internet : la mutualisation. De plus le degré d'implication
peut se moduler (de spectateur à animateur de la liste)". Cependant
le principe de tels espaces au sein d'Internet reste la participation et
l'animation plus que la simple observation. Il faut bien distinguer
que même si on utilise le terme de modérateur pour désigner
les responsables de ces listes, il ne s'agit en aucun cas d'un forum, mais
bien un espace d'échange autour d'activités d'écriture
et de lecture, les conversations ne sont pas simultanées.
Divers organismes sont intervenus dans la formation des enseignants, à commencer par l'inspection académique en collaboration avec le centre de ressources informatiques d'Archamps. ; la formation a porté sur les aspects techniques de l'utilisation d'Internet (logiciels de messagerie, éditeurs de pages HTML, …). Le CDDP (Centre Départemental de Documentation Pédagogique) de Haute Savoie a quant à lui organisé des journées d'information qui ont porté prioritairement sur la recherche documentaire, les moteurs de recherche, la gestion de signets.
Le CDDP et le site d'Archamps ont un rôle important, ils assurent un suivi technique et un accompagnement pédagogique (mise en place d'un serveur web, coordination de projets divers, organisation de forums, …).
2.2 Entretien avec les enseignants
Un questionnaire a été envoyé
par e-mail à une vingtaine d'écoles inscrites sur le réseau.
Ce questionnaire est composé de cinq questions qui portent essentiellement
sur la communication :
1) Combien de temps en moyenne accordez-vous à votre site ?
2) Quels outils utilisez-vous pour vos correspondances ?
3) Avec qui correspondez-vous prioritairement : écoles du réseau,
écoles hors réseau, autres, … ?
4) Les activités construites au sein du site ont-elles
forcément un objectif communicationnel ?
5) Les élèves maîtrisent-ils facilement les
outils de communication offerts par le web ?
Je savais à l'avance que plusieurs d'entre elles n'allaient pas
y répondre. En effet, l'utilisation des ordinateurs à l'école
n'est pas régulière, certains y travaillent par période
(lors d'activités précises ou pour la participation d'un
projet), mais d'autres par contre en font un usage peut-être
pas quotidien mais au moins hebdomadaire. Ce sont ces écoles qui
m'ont répondu.
Voici les réponses d'enseignants de quatre écoles du
réseau : Gaston Bachelard, La
Crête, Blancheville, Les
Houches.
2.3 Entretien avec le gestionnaire du réseau
Pour avoir plus de précisions sur le fonctionnement du réseau des écoles de Haute Savoie, j'ai contacté Jean Claude ROSSIGNOL au CDDP d'Annecy, gestionnaire principal de ce réseau, l'entretien fut le suivant :
1) Toutes les écoles n'ont pas leur site web sur le réseau,
pourquoi ?
Deux raisons
* La formation : tous les enseignants n'ont pas la compétence
leur permettant de produire et mettre en ligne des sites web, ni l'envie...
* Le projet pédagogique : créer un site web est avant
tout lié à des choix pédagogiques tout comme réaliser
un journal scolaire... Certaines écoles ont d'autres projets, tous
aussi intéressants et riches.
2) Quels sont les principaux outils de communication utilisés
? Principalement l'e-mail ou y a-t-il des forums de discussion,...
Les news ne sont pas utilisés, même si l'outil existe.
Peut-être parce que nous n'avons pas fait porter la formation ni
l'information là-dessus. Question de priorités. Par contre
nous utilisons beaucoup les listes de diffusion dont certaines avec archives.
3) Est-ce que toutes les écoles disposent des mêmes
outils de communication ?
Non, même si pour des raisons d'efficacité (éviter
la dispersion, faciliter la formation, la maintenance logicielle) je conseille
certains outils :
- Netscape
- Pegasus
4) Le projet a débuté en 1995 avec 44 établissements,
qu'en est-il aujourd'hui ?
Voir le bilan quantitatif
3) Le réseau : intégration difficile
Comme je l'ai dit plus haut,
l'usage de l'outil informatique est extrêmement variable. Peu nombreuses
sont les écoles qui se sont accordés un horaire fixe pour
la connexion au réseau. Le problème est de savoir comment
intégrer l'usage d'Internet au sein de la classe.
Il apparaît d'après les entretiens et l'observation des
différents sites que les classes qui ont réussis à
s'intégrer dans le réseau et donc qui ont réussi à
communiquer régulièrement avec d'autres classes sont celles
qui participent activement aux listes de diffusion. Comment peut-on expliquer
cela ?
L'outil de communication
le plus utilisé est le courrier électronique, d'ailleurs
comme l'explique Jean Claude ROSSIGNOL, la formation des enseignants a
porté essentiellement sur cet outil.
Dans le domaine de l'éducation les outils peuvent être
divers comme l'explique Linda HARASIM dans l'ouvrage "Learning Networks"
:
L'utilisation du Net à l'école se fait au travers de trois
types d'activités : la recherche documentaire, la création,
d'un site et la correspondance. Concernant la troisième activité,
on a pu observer que cela se faisait essentiellement par la messagerie.
Les correspondances entre élèves sont rares d'une part car
il n'y a pas au sein de ce réseau une base de données sur
les élèves, quelques sites ont tenté de donner la
parole à chaque élève pour se présenter mais
il reste très peu nombreux. D'autre part, dans l'ensemble les élèves
n'ont pas un accès libre au réseau, lorsqu'il s'agit d'allumer
les ordinateurs de la classe c'est pour y travailler collectivement avec
des directives précises (recherche, répondre aux courriers,
...).
Plusieurs autres écoles font partie du réseau de Haute
Savoie mais n'ont pas de site web, elles sont mentionnées sur la
page d'acceuil du réseau, mais on a aucune information sur
ces écoles, même pas leur e-mail, là encore la notion
d'échange est ignorée. Cela confirme comme l'a affirmé
un des enseignants lors de nos entretiens que "le réseau scolaire
de Haute Savoie n'est pas actif".
Cette implantation est difficile car elle demande beaucoup d'investissement
de la part des enseignants et des élèves. Concernant les
enseignants (outre les contraintes des programmes), changer le système
habituel d'éducation ne va pas de soi, concernant les élèves
la communication requiert des compétences particulières :
si le courrier électronique leur pose peu de problèmes, les
aspects intellectuelles de la communcation sont moins évidents (exploiter
des documents, communiquer avec des élèves d'autres cultures,
travailler en collaboration avec des partenaires éloignés).
Il faudra donc du temps pour que le réseau des écoles
de Haute Savoie soit véritablement fonctionnel.
Les ouvrages :
"Learning Networks" Linda Harasim, Starr Roxanne Hiltz, Lucio Teles,
Murray Turoff
"La Communication Télématique Internationale" Rachel
Cohen, édition Retz, 1995
Les articles :
"Enseignement public et Informatique : EPI", n°88 décembre
1997
"Réseaux et multimédia dans l'éducation", Alain
Gérard, 1997
Documentations on line :
Bibliothèque de l'Agora
: "Internet à l'école primaire" Laurent Dubois, juin
1997
"On line and distance éducation" Betty Collis, Université
de Twente, 1995